Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... faute de songer à cela. Donc j'avais plus de raisons qu'il ne m'en fallait pour deviner ce qu'on ne m'avait pas dit. Le physique de Teresa, la désinvolture de son caractère et la brutalité de ses expressions, tout en elle me semblait marqué de la même empreinte. "Tu fais du théâtre ? lui dis-je. - Plus maintenant, j'en ai fait. Comment le sais-tu ? Par Mauricette ? - Non. Mais cela se voit. Cela s'entend. Où as-tu joué ?" Sans répondre, elle se coucha près de moi, sur le ventre. Je repris ironiquement : "Tu me le diras demain. - Oui. - Reste avec moi jusque-là. - Jusqu'à demain matin ? Tu veux ?" Comme elle souriait, je la crus sur le point d'accepter. J'étais encore un peu las mais elle m'inspirait presque autant de désir que si j'avais été dispos. Elle se laissa étreindre et me dit : "Qu'est-ce que tu veux de moi jusqu'à demain matin ? - D'abord te faire jouir. - Ce n'est pas difficile. - Ne me dis pas ça, tu m'exaspères. Pourquoi t'es-tu retenue ? - Parce que mon "petit travail" aurait été mal soigné. Allons ! Qu'est-ce que tu veux encore ? - Tout le reste. - Combien de fois ? - Oh ! je crois qu'avec toi je ne compterais guère. Ce ne serait "pas difficile" non plus." Teresa fixa sur moi un de ces longs regards silencieux à travers lesquels j'avais tant de peine à distinguer sa pensée. Et cette femme qui ne voulait répondre à aucune de mes questions me fit soudain la confidence la plus imprévue, comme si la certitude qu'elle avait de m'attirer l'assurait de ma discrétion ...
... ; ou dans un autre dessein ; peut-être pour m'obliger à garder le secret si je venais à l'apprendre d'une autre source. "Ricette m'a dit qu'elle t'a fait jurer et que tu lui as tenu parole. Je peux te dire un secret ? Oui ? Eh bien, j'habitais Marseille avec mes trois filles, en appartement. Je suis partie parce qu'on a changé le commissaire de police. Voilà. Tu comprends ? Ici, je vais me tenir tranquille pendant quelque temps ; mais comme j'ai une fille qui a le feu dans le derrière, elle est venue se faire enculer chez toi le premier jour et sa mère y est venue ensuite." Sur ce mot elle se remit à rire, d'abord pour me persuader que son histoire marseillaise n'avait aucune importance, et ensuite parce qu'elle voulait me voir de bonne humeur avant de me dire ses projets. Du rire elle passa aux caresses. Quand elle fut sûre de mon état, elle me posa une question sous la forme qui convient à l'extraction des aveux : "Tu n'es pas assez puceau pour ne pas savoir encore ce que c'est qu'une petite fille ? Une vraie, sans poils, sans nichons ; tu en as baisé ? - Oui ; mais pas souvent. Deux... ou quatre... en tout. Deux vraies, comme tu dis ; et les deux autres un peu moins vraies. - Deux, ça me suffit. Tu sais qu'on n'enfile pas une gosse comme une femme, et que quand on lui a logé le bout de la queue dans la moniche, c'est tout ce que la môme peut prendre ? Tu sais ça ? - Évidemment. Pourquoi me le demandes-tu ? - Parce que je vais t'envoyer ma Lili et, comme tu as la manie de ...