1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... mieux". Mais je commençais à être las de la longue excitation où elle m'avait tenu et, tout en maniant de la main droite le petit cul grand ouvert qu'elle remuait à ma portée, je l'avertis de se tenir prête. Si cette comparaison n'était pas irrévérencieuse, je dirais : une petite fille qui aime à sucer les hommes a l'air d'une première communiante à genoux devant la sainte table ; on dirait qu'elle attend une nourriture sacrée, au sein d'un mystère incompréhensible où le dieu de l'Amour va se donner à elle. Lili prit une expression si touchante que j'eusse été cruel d'en rire. Elle leva les yeux au ciel, serra comme elle put sa trop petite bouche où ma verge paraissait énorme, hors de toute proportion avec cette enfance, et, quand elle me sentit éjaculer soudain, elle se mit à pousser, je ne sais pourquoi, certains petits gloussements par le nez, mais d'un comique irrésistible. Je me cachai les yeux d'une main. Cela ne dura qu'un instant. Lili n'était pas de ces petites filles gâcheuses qui bavent ce qu'elles sucent et laissent plus de regrets que de remords aux messieurs qui les pervertissent. Elle suçait mal ; mais elle avalait bien.CHAPITRE IV Quatre heures s'écoulèrent. Je dînai seul dans un petit restaurant sans femmes, pour reprendre un peu mes forces; pour reprendre surtout mes esprits. Mes forces revinrent assez vite; mais mes esprits furent plus lents. Quand je rentrai, vers onze heures, il me restait encore quelque mal à comprendre ce qui m'était arrivé. Donc ...
    ... j'avais pour voisine une belle Italienne qui vendait ses filles. Que j'eusse pris l'une de ses trois filles, c'était tout simple. De toute antiquité les étudiants et les filles de quatorze ans ont couché ensemble. Que la mère, habituée à partager les amants de ses filles, eût sonné chez moi aussitôt après, c'était encore tout naturel. Mais pourquoi m'avait-elle envoyé Lili ? Pourquoi m'avait-elle promis la visite de… On frappa. On frappa deux fois... J'allais ouvrir. Une voix douce et tranquille me dit: "II paraît que c'est mon tour ?" Je reculai. Teresa m'avait prévenu que Charlotte était la plus jolie de ses filles, mais je n'espérais pas qu'elle le fût à ce point, et je le lui dis en pleine figure : "Dieu que vous êtes jolie ! - Voulez-vous vous taire ! fit-elle tristement. Toutes les filles se valent. - C'est vous qui êtes Charlotte ? - Oui. Je vous plais ? - Si vous me plaisez !" Elle m'interrompit pour me dire avec une sorte de soulagement et de lassitude : "En bien, tant mieux, parce que moi, je me donne comme je suis, vous savez, je ne suis pas coquette pour un sou, et si tu... si vous... Oh ! on se tutoie, hein ? c'est plus simple. - Et on s'embrasse ? - Tant que tu voudras." Je lui pris la bouche passionnément. Le baiser qu'elle me rendit avait plus de mollesse que d'ardeur, mais il était de bon accueil. Elle dit seulement, quand je lui mis la main sous les jupes : "Laisse-moi donc me déshabiller. - Crois-tu que j'ai le temps! - Tu as toute la nuit." Et sans hâte, avec la ...
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