Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... femme. Tu commences à me connaître un peu. Je n'ai jamais été une de ces jeunes filles passionnées qui vous prennent la main en disant : "Je bande !… Non, je ne bande pas, mais je mouille pour rien. Quand je mouille, j'ai envie de me branler. Et quand j'ai envie de me branler, je me branle."Elle rit en se renversant. Sa bonne humeur la transformait. "Donc, c'est à douze ans que j'ai pris l'habitude de me branler autant que je pisse, et maintenant ce n'est pas assez dire, car, aujourd'hui, par exemple, je ne pisse pas si souvent que je me fais décharger. Maman m'a conseillé de me branler toujours quand on m'enculerait, évidemment, mais elle était contente de voir que je me branlais même devant elle, et, comme je m'y prenais mal, elle a eu la patience de me l'apprendre elle-même, d'abord avec son doigt et puis avec le mien. Faut-il que je sois gourde tout de même! Quand je pense que je n'aurais même pas su me branler toute seule si maman n'avait pas tenu ma main dans la sienne ! En ce temps-là, j'allais toujours à l'école et nous habitions un quartier de Marseille, où il n'y avait guère de putains, mais encore moins de pucelles. Je crois que toutes les gamines de l'école baisaient : les unes avec leurs frères, les autres avec leurs pères, leurs cousins, leurs voisins. J'en connaissais une qui avait dix ans et qui se vantait de tirer plus de six coups tous les soirs, en levrette, contre une palissade, dans un chantier en construction... J'en connaissais une autre qui ...
... s'appelait Clara, maigre comme un petit squelette, on lui voyait les os des fesses et elle n'avait pas de poil. Elle a raconté devant moi, en pleurant, à une femme de quarante ans, qu'elle couchait toutes les nuits entre ses deux frères et qu'ils lui faisaient ça ensemble, tant ils étaient pressés, l'un par- devant, l'autre par-derrière et la femme lui a répondu : "Je voudrais bien être à ta place !" Ah! j'en ai des souvenirs d'enfance… Enfin, j'étais donc un jour a l'école dans un coin du préau, avec cinq copines, et chacune racontait comment elle se branlait. Quand j'ai dit (sans parler de maman) que je me fourrais une bougie dans le cul pendant que je me frottais le bouton, elles ont trouvé ça épatant et elles m'ont invitée dans un petit jardin, chez l'une d'elles qui s'appelait Régine. On se montrerait tout, on se branlerait ensemble, on s'amuserait comme des reines. Justement ce jour-là maman devait sortir. J'ai suivi mes petites copines. Et alors… Ah ! qu'est-ce qui m'est arrivé!... II faut te dire que par-devant j'avais un de ces pucelages comme on n'en fait guère : juste de quoi passer un crayon. Les cinq ont levé leurs jupes d'abord : elles étaient toutes dépucelées ; les trois plus jeunes n'avaient pas de poils et les deux autres un simple duvet. Quand elles ont découvert à la fois ma touffe noire et mon pucelage, elles se sont mises à rire, mais à rire ! Un pucelage avec du poil autour, elles n'avaient jamais vu ça. Crois-tu qu'elles en ont fait une ronde autour de moi et, ...