Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... langage : "Dis-le-moi toi-même que je suis une salope. - Non. - Si, ça me fait plaisir." Je comprenais enfin. Elle me parlait très bas, en tremblant de la tête aux pieds."Appelle-moi putain pendant que je me branle pour toi. Putain et pierreuse et garce ! Dis que tu m'enculeras pour quat'sous, tu veux ? Tu me fourreras ta queue par le trou du cul jusqu'au fond, jusqu'au fond ! Tu m'enculeras pendant une demi-heure en me limant de toutes tes forces et tu me donneras quat'sous après. Si tu ne veux pas jouir dans mon cul, je te sucerai. Je voudrais toujours avoir la bouche pleine de ton foutre. Pas seulement la bouche, mais tout le corps. Je te branlerai sur ma figure. Mais qu'est-ce qu'il faut que je te dise pour que tu m'appelles salope ? Je retiens mon doigt, je me touche à peine. Appelle-moi putain et salope et vache. Dis que tu me pisseras sur les nichons et que tu me chieras dans la gueule! Dis-le pendant que je décharge, que tu me feras manger ta merde ! Dis-le donc ! Dis-le ! Dis-le !" Elle s'évanouit à demi et ne rouvrit les yeux qu'après un long silence. Son premier mot fut : "Je suis toquée !"Puis, voyant que je ne disais rien pour la démentir, elle reprit : "Tu vas avoir une belle opinion de moi !... Et c'est de ta faute... Non, c'est de la mienne. Tu ne pouvais pas savoir. - Qu'est-ce que j'ai fait ? - Maman dit toujours : "Charlotte, quand elle a envie de branler, si elle se retient cinq minutes, elle devient maboule". Tu m'as retenue... - Je ne le ferai plus. ...
... - Est-ce sûr ?... C'est drôle pour un homme, n'est-ce pas, une fille qui ne peut pas s'empêcher de dire des saloperies quand elle est en chaleur ?" Je pris Charlotte dans mes bras, et parlant à voix basse et tenant sa tête de telle façon qu'elle ne fût pas forcée de me regarder : "C'est maintenant, lui dis-je, que tu vas me faire ta confession. Ou plutôt je la ferai pour toi et tu me répondras oui ou non. Veux-tu ? - Oui. - Les hommes que tu vois ne te séduisent guère; mais... sois franche : tu aimes le métier de putain. - Oui. - Non seulement tu aimes à faire jouir un homme, mais tu aimes être à ses pieds, à son ordre, quelque chose comme son esclave ? - Sa putain. - C'est moins qu'une esclave ? - Oui. Les esclaves, on les viole ; mais moi... - Et une chose qui t'excite dans les bras d'un homme, c'est... - C'est de me dire que je suis la dernière des salopes ; qu'il n'y a pas de plus bas métier pour une fille que d'offrir son trou du cul et sa bouche à tout ce que les hommes veulent en faire. Oui, je te l'ai dit malgré moi tout à l'heure ; mais, je t'en supplie à genoux, dis-moi que j'ai raison ! Comprends donc que je me tuerais si cela ne m'excitait pas un peu ! Et, au lieu de me consoler, injurie-moi. Allons... Voyons…" Elle souriait sans insister sur le tragique de ses dernières phrases. Elle souriait de plus en plus. Elle avait l'air de jouer. "Sois gentil. Fais que je l'aime, mon métier de putain. Je ne me branle plus, tu vois, je suis calme, j'ai fini de jouir. Mais ...