1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... "Qu'est-ce que tu fous là, petit chameau ? - Maman ! fit Charlotte, les bras au cou, et avec une voix d'enfant. - Crois-tu que tu peux m'embrasser avec cette bouche de putain ? Qu'est-ce que tu viens de faire ? ta langue sent le foutre. - J'en ai bu ! dit Charlotte en faisant les doux yeux. - Saloperie que tu es ! Pourquoi ne couches-tu pas chez ta mère ? Pourquoi est-ce que je te trouve a poil à trois heures du matin dans le lit d'un jeune homme que tu ne connais pas ? Qu'est-ce que tu mérites ?" Assis au pied du lit, j'écoutais ce dialogue avec une sorte d'ahurissement. Faut-il rappeler ici que j'avais vingt ans et Charlotte aussi. Qu'une jeune fille de vingt ans domine comme il lui plaît un jeune homme de son âge ? Et sous mes yeux je voyais gronder Charlotte comme une petite fille !… Et cette Charlotte, qui luttait dans mes bras quand je la traitais en femme, trouvait tout naturel que sa mère lui parlât comme à une enfant de sept ans ? Teresa me jeta un regard qui signifiait : "Veuillez garder le silence !" ou peut-être :" Fous-moi la paix!"Le vocabulaire des regards est assez incertain. Puis elle reprit: "Qu'est-ce que tu es venue foutre ici ? Réponds ? - Je suis venue me faire enculer, soupira Charlotte. - Et il a bien voulu enculer une putain comme toi ? - II ne veut pas que je sois une putain, dit-elle vivement, les yeux fermés. La première fois il m'a enculée pendant que je me branlais, il a joui dans mon cul. La seconde fois, j'ai déchargé plus vite que lui ; alors ...
    ... j'ai retiré la pine de mon cul, je l'ai mise dans ma bouche... - Quelle salope! - Oh ! pas assez! fit Charlotte avec une torsion du corps qui m'effraya. Je lui ai demandé de me... (et elle parla si bas que je n'entendis rien). Et quand il m'a enculée la troisième fois je ne me touchais pas, j'étais excitée, j'avais envie de jouir par le cul et je voulais qu'il me dise ça quand je déchargerais. - Tu n'as pas honte? - Si, j'ai honte. Mais j'ai envie qu'il me le fasse. Et il est plus vache que moi ; il n'a jamais voulu ni le faire, ni le dire, ni rien ! Rien ! Rien !" Alors, comme une infirmière ou une religieuse parle au chevet d'une malade qui n'entend pas, Teresa me dit tout haut et sans aucun étonnement : - "Elle a encore besoin qu'on la branle." Toute nue, la mère de Charlotte se leva, sortit, entra chez elle et revint aussitôt portant un objet enveloppé de papier. Puis, avec l'autorité d'une belle-mère qui soigne sa fille devant son gendre, elle dit : - "Laisse-moi faire maintenant. On ne te demande rien. Tu as tiré six coups ; repose-toi et reste au pied du lit." Teresa ne m'avait pas inutilement prévenu ; car le dialogue se haussa d'un ton dès les premiers mots. De sa voix tremblante et plaintive que je n'entendais plus sans frisson, Charlotte gémit en se tirant les chairs : "Regarde, maman, ce qui me sort par le trou du cul. J'ai la raie des fesses pleine de foutre, et il ne veut pas dire que je suis une putain. - C'est que tu n'en as pas fait assez. - Mais c'est lui ! ...
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