Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... que la scène précédente, au lieu de me tenter, m'avait refroidi. Et je fis bien de me taire, car ma lutteuse me défiait à bon escient. Teresa ne fit presque rien pour réveiller mes sens. Elle les attira "sous son ventre" comme elle disait; mais avec une science du contact qui me parut merveilleuse. Sitôt que je fus en état, Charlotte reparut au comble de l'excitation. Je lui aurais fait moitié moins de plaisir en la possédant elle-même qu'en prenant sa mère devant elle."Ma langue la première ! dit-elle. Tiens, regarde comme j'encule maman avec ma langue, regarde !... Et mets ta queue, maintenant, je lui ouvre les fesses... Ha ! Ha ! je te disais tout à l'heure que je gagnais ma vie avec mon trou du cul ; mais non, je suis encore au-dessous de ça, je suis celle qu'on prend pour lécher le derrière et pour ouvrir les fesses de la femme qu'on encule, voilà ce que je suis !" Puis, comme Teresa se retrouvait sur moi en ouvrant les cuisses à la bouche de sa fille, Charlotte, de plus en plus nerveuse, lui dit : "Tu parleras, maman ? tu parleras ? Lui, je le connais, il ne dira rien. Mais je ne pourrai pas. Alors toi..., toi, parle tout le temps ! Si tu te tais une seconde, je m'arrête et je me branle." Teresa devait être habituée à ce caprice de Charlotte, car elle ne cessa pas un instant de parler."Vite, ta langue ! et je te défends bien de te branler quand tu me fais minette. Et qu'est-ce qu'il te prend de m'attaquer le bouton comme ça ? Est-ce que tu veux me faire jouir en ...
... quinze secondes ? Est-ce que tu as un client qui t'attend derrière la porte et que tu n'as pas fini de sucer, dis, putain ? Ne te presse pas tant. Lèche-moi les babines. Tu reviendras au bouton quand je te le dirai." Elle me jeta un regard qui signifiait : "Voilà comment il faut lui parler !" et elle continua sans interruption :"Quelle pourriture que cette Charlotte! II y a des enfants qu'on nourrit au sein, avec du lait, moi, je l'ai nourrie au cul, avec du foutre, et maintenant qu'elle a vingt ans elle me fourre encore sa langue dans le derrière. Comment une saloperie pareille a-t-elle pu sortir d'un chat comme le mien ? A qui ferait-on ce que je viens de te faire ? J'entre chez ton amant, je te le prends sous tes yeux, dans ton lit et, pendant qu'il me fait mouiller tu viens me lécher le cul ? mais tu es au-dessous des putains. Une raccrocheuse ne ferait pas ça. Ainsi tu es cocue ! et dès la première nuit ? Tu passes tes journées à te branler devant tes sœurs en pleurant que c'est malheureux d'avoir tant de michés et de se finir toute seule. Cette nuit tu as trouvé une queue qui t'a fait jouir ! eh bien, regarde où elle est, cette queue-là, elle est dans mon culjusqu'à la racine ; je ne t'en laisse que les couilles à lécher. Ta langue au bouton, maintenant, sale gousse! mais pas si vite ! Ralentis ! II m'encule très bien, ton amant, et j'ai plus envie de jouir que lui... Qu'est-ce que tu as ? tu penses au foutre que je vais te pisser dans la bouche, cochonne ? et ça te fait ...