1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... horrible scène qui m'est pénible à écrire... J'avais vu, dans un jardin, une jeune fille se branler vers moi dans la même posture, mais gaiement et par moquerie, et je ne savais pas que c'est le geste des folles. Je ne sais maintenant. Charlotte, toujours debout et le doigt sous le ventre, ne disait plus que des ordures, d'une voix saccadée. Je les passe. Elle termina ainsi : - "Depuis deux heures j'en ai envie... Il ne veut pas... Ma bouche le dégoûte… Montre-lui, maman... Comme je m'y prendrais sous lui... Comme je sais bien… sans faire de taches…"Lorsque j'entendis ces mots misérables : "Comme je sais bien... sans faire de taches..." Mais pourquoi souligner les mots d'une pareille scène ! Ceux-là m'ont paru les plus tristes de tous et Charlotte les disait pourtant avec une sorte de ferveur. Elle entra dans la salle de bains, s'étendit nue sur le carrelage de céramique en se relevant sur un coude, la tête renversée, la bouche ouverte, et se masturba d'une main avec frénésie. Elle ne paraissait pas sentir le froid du sol. Plus elle se branlait et plus elle prenait d'enthousiasme à s'avilir. Ce qu'elle dit alors, je l'ai noté jadis et je viens de déchirer la page que je n'avais pas le courage de relire jusqu'au bout. Il est deux choses que ma lectrice ne saurait se représenter, les paroles que je veux lui taire et la hâte que j'ai de finir ce chapitre. Les scènes vraies sont plus difficiles à raconter que les inventions, parce que la logique de la vie est moins claire que ...
    ... celle d'un conte. Vous croyez qu'ici le point culminant dut être l'acte dont je fus témoin ? Pas du tout. Et je ne sais si je pourrai faire comprendre pourquoi. D'abord je m'y attendais depuis un quart d'heure, et ce que j'imagine est en général plus intéressant que la réalité. Ensuite il est juste de dire qu'en cette circonstance, le rôle le plus infâme, celui de Teresa, fut tenu avec une prodigieuse adresse féminine. Le rôle fut "sauvé". C'est ce que, probablement, je ne saurai pas décrire. Teresa avait un corps admirable ; je l'ai déjà dit. Elle était fille d'acrobates, ainsi que vous l'apprendrez bientôt. Elle s'y prit exactement comme un gymnaste qui répète un exercice avec sa partenaire, mais un exercice classique et elle me regardait d'un visage tranquille comme si son acte lui paraissait plus naturel que mon trouble… Cinq minutes plus tard, j'étais seul.CHAPITRE VIII Je dormis neuf heures et me réveillai avec un irrésistible désir de… Terminez la phrase si vous êtes jeune ou si vous vous souvenez de l'avoir été. Les excès amoureux donnent plus d'entraînement que de lassitude et sont moins difficiles a recommencer le lendemain que la semaine suivante. Tout le monde sait cela. Je me sentais donc assez en forme. Pour parler comme le patriarche aimé de Ruth, ce fut un "matin triomphant"; mais si triomphant qu'il fût je ne le trouvai point agréable, car un irrésistible désir de... Ne me comprenez-vous pas ? Si vous avez lu page à page les sept chapitres précédents, vous ...
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