Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... donné ce goût-là ?- Et à moi ? qui est-ce qui me l'a donné ? Tu ne t'es pas demandé ça, non ? Je ne l'ai pourtant pas inventé que toutes les femmes ont deux trous dans le cul et qu'elles font l'amour aussi bien par-derrière que par-devant ? Tu saisqu'avant d'être une mère, mon petit, j'ai été une fille." Elle rit. Elle me parlait debout, une main sur la hanche. Avec son peignoir, sa tête brune et sa fleur, elle avait l'air de jouer Carmen. "Fille de qui ?" dis-je, assis près d'elle. Pas de réponse. Elle souriait en me regardant et mordait de ses dents blanches une mèche qu'elle tenait à la main. Je ne savais à quoi elle pensait. Les jeunes gens ne sont que trop disposés à croire que les femmes veulent sans cesse coucher avec eux. Même quand elles frappent chez eux à minuit, leurs desseins parfois ne sont pas si simples. Je répétai : "Fille de qui ? - Crapule ! tu seras content si je te dis : fille de putain ? - Oui, je serai content", répondis-je pour l'exciter à parler. Elle continua pourtant de me regarder avec le même sourire un peu agacé, puis se décida : - "Je suis née dans une famille d'acrobates italienne où il y avait quatre femmes : maman et ses trois sœurs plus jeunes qu'elle. Sois content : elles étaient un peu putains toutes les quatre et toutes très jolies ; mais beaucoup plus gousses que putains. Jamais je n'ai vu quatre garces enragées de se lécher le cul comme étaient maman et mes tantes. Dès qu'elles avaient une heure de liberté entre elles je les voyais se ...
... foutre à poil, et ça se dévorait le chat, et ça gueulait comme des putois et ça jutait si fort qu'il y en avait des mares sur les draps de lit. Quant aux hommes... Tu demandes pourquoi mes filles ne baisent pas ! J'ai jamais vu baiser maman ni ses sœurs et je ne sais pas comment on m'a faite. Elles n'étaient pas putains comme moi, mais enfin de temps en temps il y en avait une qui ramenait un homme, et penses-tu qu'au cirque on peut être enceinte ? On avait l'embarras du choix pour les enculer. C'étaient quatre paires de fesses qui avalaient bien la queue. Mais par-devant, elles ne marchaient pas ; on appelait ça le côté des dames. Crois-tu qu'à sept ans j'avais jamais vu une femme faire l'amour autrement que par le trou du cul et que je ne savais pas ce que c'était que baiser ? Pourtant j'en avais vu, des scènes ! Comme maman et ses sœurs étaient acrobates et disloquées, chacune d'elles pouvait se bouffer le chat elle-même et surtout ce qu'elles faisaient souvent, c'était de se plier en deux pour aller sucer les couilles des hommes qui les enculaient. Ça valait cinquante francs ce truc-là, quelquefois. Ou un lapin ! " Sur ce mot, elle interrompit son histoire à peine ; commencée, ôta son peignoir et le jeta en disant : "J'ai chaud." Cette fois, elle était venue sans chemise. Nue subitement, elle vint s'asseoir par défi au bout du traversin : "Tu me dégoûtes !" dis-je en détournant les yeux. - Ah ! Ha ! Ha ! mais regarde-toi donc ! tu bandes comme un cheval. - C'est bien malin ...