Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... te désire et tu dis tout ce qu'il faut pour que je te trouve ignoble autant que tu es belle. - Tu bandes..., fit-elle. - J'en suis honteux ! interrompis-je. J'en ferais davantage avec la négresse de bordel dont tu me parlais tout à l'heure et je n'aurais pas d'elle l'horreur que j'ai de toi." A ce mot, elle resta immobile et frémissante sur moi car elle était sur moi et la souplesse de son corps lui permettait de se joindre ainsi par où elle prenait son plaisir. Et alors, suspendant à la fois par son immobilité sa jouissance avec la mienne, elle me dit avec triomphe : "Enfin ! Tu as compris que je ne suis pas ta putain ! - Mais tu es pire! - Pire ! Tu l'as dit ! Je suis pire ! Mais je suis autre chose. La putain est celle qui se soumet aux vices des hommes. Moi, je te donne les miens, je te les apprends. Je t'en donne le goût. - Jamais, jamais tu ne me donneras le goût de celui-là ! - Ha ! Ha ! mais sens donc ce que tu fais ! Tu n'as jamais voulu que me baiser, et voilà quatre fois, quatre fois que tu m'encules parce que je le veux. Alors suis-je ta putain, dis-je, suis-je ta putain ? - Si tu dis un mot de plus... - Tu m'entendras ! fit-elle avec ferveur. Engueule-moi ! Bats-moi ! Crache-moi dans la bouche ! Mais je te défie de débander ! Elle me tenait de toutes ses forces et menaçait des dents ce que ses mains ne tenaient pas. Et j'étais toujours en elle et elle me tenait par là comme par les deux poings. J'aurais pu... Mais combien il est difficile d'expliquer à la ...
... plupart des gens la scène passionnée qu'ils n'ont pas vécue ! Il est des hommes qui savent tout et qui ne connaissent pas les premiers éléments de la science amoureuse. Je partage mes lecteurs en deux groupes. Les uns me reprochent d'avoir donné auparavant une douzaine de bourrades sur l'épaule gauche de Teresa; j'ai frappé une femme, ah ! Fi !… Ceux-là n'ont jamais été vraiment aimés qui ne savent pas comment les femmes amoureuses se font battre par l'homme qu'elles aiment, et la volupté qu'elles trouvent à souffrir par la main qui les caresse, par le bras qui les étreint. Mais l'autre groupe de lecteurs n'a pas encore compris pourquoi, si j'ai déjà battu cette femme, j'hésite à la flanquer cent fois hors de mon lit. C'est que... cela lui aurait fait mal. Non, vous ne comprenez pas qu'une douzaine de coups de poings assénés sur l'épaule d'une amoureuse lui font plus de plaisir que de souffrance ? mais que, si cette femme lutte avec vous dans une position telle que l'on soit forcé de la prendre par la peau des flancs ou la chair des seins, l'homme qui vient de la battre ne la bat plus ? Pourtant j'avais envie de la tuer, cette femme accroupie sur mon sexe. Et naturellement cela ne signifie pas que j'avais cessé de la trouver belle.Elle s'écria, mais si près de ma bouche qu'elle la touchait presque :"Alors, moi seule je n'aurais pas le droit d'avoir des vices ? Tu sais qu'à huit ans on m'a dépucelé le derrière et le reste. Tu sais que depuis vingt-huit ans je passe mes jours et mes ...