Trois filles et leur mère
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... plus... - Plus je te parle, plus je bande, fit-elle. Regarde mes tétons de putain, regarde si leurs bouts sont raides, si on ne les foutrait pas dans le derrière d'une gousse ! - Je t'en prie!- Tu m'entendras ! Je ne suis pas gousse comme étaient maman et ses sœurs. J'ai couché avec des centaines et des centaines de gousses, des blondes, des brunes, des rousses, des châtaines et même des négresses. Je ne suis pas gousse. J'aime mieux la queue. Mais j'ai un vice. J'ai bien le droit d'avoir un vice, peut-être ? (Ici sa voix devint vibrante.) Cela m'excite de me faire lécher le cul par mes filles. Je suis très catholique; je suis presque dévote. Un curé m'a dit que c'était le plus grand péché que je pouvais faire. Depuis que je le sais, je le fais tous les jours. Même quand je me branle, il y en a toujours une qui vient me sucer les poils. Même quand tu m'encules, cela m'échauffe d'y penser. Charlotte n'est qu'une gourde, mais, mais quand j'ai sa langue là, je me dis que c'est ma fille aînée, je décharge deux fois plus parce que c'est ma fille." Elle se tordit et ne put contenir plus longtemps son immobilité frémissante. - "Les imbéciles qui nous enculent l'une sur l'autre s'imaginent que l'i****te me... Ha ! Ha ! Ha ! c'est pour mon plaisir !" Puis, agitant son corps souple avec de longs mouvements de croupe qui assouvissaient enfin mon désir interminablement déçu, elle choisit cet instant qu'elle avait amené avec tant de patience et d'artifice, le moment où je ne pouvais plus ...
... ni la repousser ni l'interrompre, et alors, plus ardente encore que je n'étais, mais pourtant moins égarée, elle articula sans élever la voix :"Mes trois filles sont mon bordel. Je les fiche à poil au salon, pour moi leur mère. Je fais mon choix, je prends celle qui me tente et celle-là, devant ses deux sœurs, me suce les babines du cul, me lèche la raie des fesses, me fourre la langue dans le derrière, puis revient me gousser le bouton et avale tout ce que je décharge. Et je les ai si bien dressées que je leur chie dans la bouche le foutre des hommes qui m'enculent. Je t'ai dit que tout à l'heure j'avais pris Charlotte à part ? Ce n'est pas vrai. J'ai réveillé les petites ! Elles ont tout vu! Et Lili est jalouse ! Elle est venue me lécher le cul ensuite parce qu'il y restait une goutte!" Je n'en entendis pas davantage. J'étais moralement épuisé. Ma fatigue physique dépassa même toute mesure. Sans doute à la suite de la longue attente que je venais de subir, et pendant deux minutes je restai seul sur mon lit, sans mouvement comme sans pensée.CHAPITRE X Quand je rouvris les yeux, Teresa rentrait, toujours toute nue, et ramenant avec elle Lili ; une Lili nouvelle pour moi, une Lili en chemise de nuit, avec une petite natte dans le dos ; une Lili qui dormait debout. Elle la plia sur un fauteuil comme une poupée et vint me dire à l'oreille, mais en accentuant chaque syllabe : "Laisse-moi faire. C'est ma fille. Je l'élève comme je veux. Si tu m'insultes devant cette gosse de dix ...