1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... malheurs sans espoir de consolation, elle continua en faisant presque avec pudeur ce qu'elle racontait : "Monsieur, je vous prends à témoin. Je me branlais sagement comme ça : un doigt dans le cul, un doigt dans la fente et un doigt sur le petit bouton. Je ne me faisais pas de mal, je vous assure, mais j'ai eu beau le dire à maman : les grandes personnes, ça comprend rien. - Pauvre petite ! soupirai-je avec elle. - Et ça vous lance des mots !... Maman m'a fait jurer que je ne reprendrais plus jamais la funeste habitude de la "masturbation "! Un mot pareil en pleine figure ! sur une petite fille, monsieur ! - Est-il permis !... Et vous ne l'avez jamais reprise, cette funeste habitude ? - Non, parce que je n'ai qu'une parole. - Et vous ne vous êtes pas suicidée? - Non, parce que je m'en foutais comme de mes trois pucelages. Depuis que je peux plus me branler, je me gousse." Instinctivement, Lili laissa tomber cette dernière réplique sans aucun accent. Elle garda sa voix simple et douce. Dix ans de théâtre pour certaines actrices ne valaient pas dix ans d'existence pour Lili. Je ne pus m'empêcher de dire à l'oreille de Teresa : "Il faut en faire une comédienne ! - C'est fait, répondit Teresa. Elle offre de sucer le directeur avant même de lui expliquer ce qu'elle peut foutre sur la scène. Qu'est-ce que tu veux donc lui apprendre de plus ?" Mais Lili achevait de parler et modulait des mots énormes comme avec une flûte angélique."Alors c'est la faute de ma mère si je ne me branle ...
    ... plus sous ma chemise de nuit comme une petite fille modèle. Au lieu de ça, je passe une heure toute nue à me frotter le cul sur ma petite gueule en me disant : "Lili, tu ne t'embêteras pas quand tu pourras te sucer du foutre !" Les grandes personnes, monsieur, ça ne peut pas savoir comme ça donne de mauvais conseils parce que, heureusement, on ne les écoute jamais ; on ne fait que semblant ; mais quand une fois par hasard on est assez rosses pour leur obéir, alors voilà ce qui arrive. - Dis donc, Lili ! fit Teresa, gaiement grondeuse. - Tu n'es pas là, maman", répondit Lili, qui reprit son rôle aussitôt pour annoncer qu'elle allait se taire, parce que son exercice lui couperait la parole. A peine avait-elle commencé... qu'elle réussit. Elle s'enroula en boule, les épaules touchant le drap du lit, les jambes ouvertes derrière la tête, les bras croisés sur les reins. Sa motte lui baisa le menton... et ce détail ne fut pas d'abord ce dont je fus le plus curieux. Je regardais son corps si petit déjà, si fluet, si court, si léger, devenir deux rois plus petit, se réduire presque à rien, comme s'il rentrait dans sa coquille. Lili prolongeait l'exercice et quand je voulus commander : "Repos!"Teresa dit tout le contraire :"Mieux que ça maintenant. Assez de bouton. La langue dans la fente. Bien. Et voilà tout ce que tu sais faire ? Tu peux pas aller plus loin ?... Regarde si c'est putain une gosse pareille ! Regarde-moi cette feuille de rose qu'elle se tourne !... Mieux que ça, Lili ! ...
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