1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... torcher ! et je te chie ! je te chie, maman !" Ce dernier mot, ce "maman" me fit tressaillir. Mauricette faillit venir à moi, mais voyant l'ahurissement avec lequel je l'écoutais, elle tourna court et se jeta sur un lit, la tête dans l'oreiller. Durant toute cette terrible scène je n'avais regardé que Mauricette. Quand je levai les yeux et les mains vers Teresa pour l'empêcher de renier sa fille comme je pensais qu'elle allait le faire, je la vis aussi tranquille que si elle avait dirigé une répétition de théâtre. Elle frappait sa paume du bout des doigts pour simuler sans bruit un petit bravo et elle dit tout bas avec un long sourire, étonnée de ma pâleur : "Est-ce que tu ne comprends pas ce qu'elle veut ?" Où avais-je l'esprit. en effet ? je n'y pensais pas. Mais la phrase était claire, je répondis précipitamment. "Non ! Oh ! Non ! jamais devant moi ! - Bien. Va-t'en. Laisse-moi seule avec elle. - Pas ce soir, je t'en prie. Pas ce soir." Teresa poussa un soupir et, avec une patience qui ne lui était pas coutumière, elle dit entre ses lèvres : "Ah! les amoureux !... Eh bien! Reste, toi. Mais tu seras sage ! C'est promis ?" Et je demeurai seul avec Mauricette. Il y eut vingt minutes d'entracte, puis nous rentrâmes et, sans élan mais sans bouderie, la mère et la fille s'embrassèrent comme si rien ne s'était passé. Et ainsi qu'une élève du Conservatoire saute de la tragédie à la comédie, Mauricette, aussi gaie maintenant qu'elle venait d'être furibonde, improvisa un ...
    ... boniment forain avec une étonnante facilité de parole :"Madame et mesdemoiselles, voici la jeune sauvagesse annoncée à l'extérieur. Elle se présente à vous toute nue selon la mode de son pays. Rien n'est faux ni truqué : prenez l'objet en main; les cuisses ne sont pas rembourrées ; le ventre est garanti, mesdames, en véritable peau de pucelle ; il y a un peu de crin dans les fesses, mais c'est pour l'ornement. Vous voulez tâter les nichons, mademoiselle ? tâtez, ça ne coûte rien. Tirez les poils, voyez qu'ils ne sont pas collés, ni sur le con, ni sous les bras. C'est la vraie, l'inimitable, la célèbre Mauricette dont vous avez lu le nom sur l'affiche. Cette jeune sauvagesse, mesdames et monsieur, a des particularités tout à fait extraordinaires. Elle fait l'amour par le trou du cul... Vous n'avez pas bien compris, mademoiselle ?... Quand elle a sur elle un homme qui bande, elle baise pas comme vous, elle se retourne avec grâce, elle prend délicatement la queue et elle se la met dans les fesses comme toutes les femmes de la famille, ce qui ne l'empêche pas de décharger mieux que vous, mademoiselle, avec moniche sans poil ! Qu'est-ce que vous avez à vous tordre ? Quand on rit devant la sauvagesse, elle devient enragée et mange les petites filles sous le ventre." Lili était malade de rire. Charlotte riait aussi, mais Teresa était la plus heureuse des trois ; évidemment, la scène précédente n'avait eu pour elle aucune espèce d'importance. Mauricette, animée par le succès, reprit son ...
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