1. Cécile


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, extracon, coiffure, Oral préservati, pénétratio, init, occasion,

    Mathieu, 33 ans, marié et aventureux… quelques amantes, plutôt des maîtresses à la mode du XIXe siècle que des plans culs, c’est là que j’exprime mon côté « vieille France » ! Ma femme en fait autant, ce qui est plutôt 70’s, cette fois. Pour me décrire rapidement, je mesure 1, 85 m’et suis brun, yeux marrons, souriant, raisonnablement musclé… mignon paraît-il ! Ce matin-là, j’allais au salon de coiffure où j’avais mes habitudes. Le hasard fit que Cécile s’occupa de moi. Une grande brune aux yeux verts, à la peau très claire, aux formes assez peu marquées mais mises en valeur par un look rock, jean noir, bottes… un très joli sourire l’illuminait, j’étais sous le charme ! Je ne me souvenais pas d’elle et lui fit remarquer. — Je viens d’arriver à Paris, je suis en colocation avec une amie qui est ici depuis quelques années…— Mais… vous êtes venue ici volontairement ? Enfin je veux dire, je pensais que Paris ne faisait plus tant rêver que ça ! Mon propos l’amusa, c’était effectivement volontaire, pour sortir, s’amuser, profiter de la vie… toutes ces choses qui semblaient plus difficiles dans sa Lorraine natale. Bien sûr, tout cela me rendait songeur, d’autant que la situation me laissait tout le loisir de la détailler davantage et d’apprécier sa fraîcheur si… provinciale, oui ! Rien chez elle qui rappelle l’air blasé si souvent de mise ici. Un cliché, peut-être, mais dont toute la réalité m’apparut à travers ses rires, son optimisme, son air épanoui… en fait, je réfléchissais ...
    ... déjà à la façon d’avoir son numéro, tant elle semblait une délicieuse compagne pour « s’amuser », comme elle disait. Je ne le savais toujours pas quand elle termina son travail, et j’étais à peu près résolu à attendre la prochaine fois qui ne tarderait pas, j’aime avoir les cheveux courts. Mais elle m’offrit une belle occasion en me demandant mon numéro, à des fins commerciales bien sûr. — Je vous le donne si vous me donnez le vôtre. Il y eut un instant de flottement avant qu’elle comprenne. — Euh… bah… oui, ok, me dit-elle, avec un air à la fois surpris et amusé. Quelques jours passèrent puis je l’appelai et lui proposai d’aller boire un verre, dans un bar qui semblait accueillant et dont nous avions parlé lors de mon passage au salon. Rendez-vous fut pris, et nous nous retrouvâmes dans l’après-midi devant ce bar où elle vint à pieds, en voisine. Je trouvais d’ailleurs ce dernier point intéressant, sans trop savoir pourquoi. Une fois posés autour de deux verres, elle me demanda assez vite si je draguais souvent, alors que j’étais marié… Je lui expliquai rapidement comment mon couple « fonctionnait ». La conversation roulait gentiment, faite de plaisanteries et d’allusions plutôt transparentes, transparentes comme son haut, moins sage que celui qu’elle portait en guise de tenue de travail. J’apercevais la naissance de ses seins, plus imposants que je ne l’avais cru… ça m’enivrait autant que nos cocktails. Un peu trop, d’ailleurs. — Je crois que j’ai trop bu, je peux plus ...
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