De Julien à Julie (14)
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
Transexuels
... autre baiser. Nos seins s’écrasent les uns contre les autres, puis, elle change de position pour s’agenouiller au sol, entre mes jambes. Elle gobe alors mon sexe et me suce avec avidité. Elle n’est pas très douée pour ça, mais son enthousiasme à me pomper me chavire. Je lui propose : — Et si on allait dans la chambre ? — Pourquoi faire ? Demande-t-elle, ingénument. Je me dénude d’un geste, l’enlace par derrière et lui déboutonne le pantalon. Ce dernier tombé au sol, il ne lui reste que son string (très mignon !). Je me presse à nouveau contre elle et mon gland s’insinue entre ses jambes, qu’elle resserre pour me garder prisonnier. Je lui souffle à l’oreille : — J’ai envie de toi ! Je veux te manger la chatte ! Tu es si délicieuse ! Il est vrai que je ne l’ai léché qu’une seule fois et je garde un souvenir merveilleux du goût de sa cyprine. Nous marchons collés l’une contre l’autre jusqu’au lit où elle s’allonge, nue désormais. Elle me réclame un baiser, avant que je n’officie entre ses jambes. C’est elle qui me propose de nous mettre en soixante-neuf. Après de longues minutes à nous lécher mutuellement, je sens que mon excitation devient difficile à contrôler. Je me retourne et la couvre pour la pénétrer. Nous faisons l’amour avec beaucoup de tendresse et de sensualité. Je lui susurre des mots doux, tout en faisant glisser mon membre dans son antre avec lenteur. zmozqqet Son ...
... orgasme déclenche le mien et j’éjacule si fort qu’il est presque possible d’entendre mes jets de semence claquer dans son ventre. Elle entoure ses jambes sur autour des miennes pour éviter que je ne sorte et reprend ses mouvements de bassins, qui me stimulent à nouveau. Sans débander, je m’accorde à son rythme et nous retournons au Nirvana en moins d’une demi heure. — Oh bon sang ! Comme tu fais ça bien, frérot … Heu ! Désolée ! Soeurette ! — Tu te débrouilles très bien, toi aussi ! J’ai failli évoquer les allusions négatives de son petit ami à son sujet et me mords les lèvres pour éviter de parler. Trop tard ! Elle a lu l’expression de mon visage et se renfrogne. — Dis, Julie, quel reproche peut-on me faire ? — Je t’apprendrai à mieux pratiquer la fellation, mais pour le reste, tu es une vraie bombe ! — Et la sodomie ? Je n’ai jamais voulu faire ça auparavant ! Suis-je anormale ? — Ecoute, Mathilde, c’est ton corps et tu en fais ce que tu veux. Moi, personnellement, j’adore ! Mais tu es libre de décider toute seule. En tout cas, ce soir je ne peux plus te faire en découvrir l’intérêt. Je suis vidée. — Demain alors ? — Sans problème ! Mais, encore une fois, tu n’es obligée à rien ! Et nous voilà à rire toutes les deux, avant de nous blottir, l’une contre l’autre, en toute « sororité ». Car oui, nous sommes deux sœurs qui s’aiment ! Et pas seulement pour ce qui vient de se passer !