1. Les deux font la perversité


    Datte: 20/07/2021, Catégories: ffh, hplusag, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, bougie, init, prememois, Inceste / Tabou fbi,

    ... monstre de cire. Quand elle estima que tout était prêt, Laëtitia s’approcha de moi, me suça quelques secondes en laissant couler de la bave sur mon sexe et me demanda d’enculer Angélique. — Juste pour lui élargir un peu son petit trou. Tu fais deux ou trois allers-retours et puis tu te retires. Et tu me laisses faire. J’obéis, impatient d’assister à la démonstration. Je restai agenouillé derrière Angélique, aux premières loges, lui tenant les fesses écartées. La petite blonde que j’avais connue si sage, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, se tenait devant moi, le cul offert, les cuisses écartées, une main sur son clitoris, tandis que sa cousine l’enjambait face à moi et approchait le cierge majestueux de l’orifice anal de sa partenaire de jeu. Elle le présenta devant la rondelle d’Angélique qui respirait fort, cherchant à se détendre au maximum. Puis, lentement, elle effectua une pression sur son anus que je vis peu à peu se dilater. Sous mes yeux ébahis, le cierge entama sa longue intromission. Angélique haletait ; son visage indiquait qu’elle prenait un réel plaisir à se faire puissamment sodomiser. Plusieurs centimètres du cierge lui étaient déjà rentrés dans le cul et Laëtitia continuait à l’enfoncer. Je bandais comme un taureau et ne pus m’empêcher de pénétrer la chatte d’Angélique. Désormais, pendant que je baisais lentement notre jeune partenaire, Laëtitia suivait mon rythme avec le gode. Elle le sortait et l’enfonçait dans le trou béant ...
    ... d’Angélique, sans ménagement, lui ramonant l’anus. La jeune fille, les deux orifices comblés, hurlait sans retenue : — Ah oui, c’est bon ! Défoncez-moi bien ! J’aime être une chienne entre vos mains… Vous me faites jouir, aaaaaaaah… Complètement déchaînée, Laëtitia la sodomisait sans vergogne. Elle imprimait au cierge un rythme inouï, l’enfonçant le plus profond possible et le ressortant presque entièrement. — Vous êtes de sacrées salopes ! m’écriai-je en lâchant mon foutre. Et toi, Angélique, tu es bonne ! Aaaah…— Ouiiii, remplis ma chatte ! J’aime te sentir te vider en moi… Hmmmm, vous m’avez bien ramonée, souffla-t-elle en s’écroulant, vaincue. Nous nous affalâmes, harassés et ivres de sexe, haletant et reprenant notre souffle. Laëtitia léchait le cierge ; elle se régalait du goût de sa cousine. Je lui fis remarquer qu’elle n’avait pas joui. — Pas grave ; mon tour viendra, dit-elle en me faisant un clin d’œil. Je voulais te montrer de quoi ma chienne de cousine était capable. Impressionné, hein ?— J’aurais jamais cru ça de toi, répondis-je en me tournant vers Angélique. Tu avais l’air si mignonne, si innocente…— C’est Laëtitia qui m’a dévergondée ! se défendit-elle en riant. Mais je la remercie, poursuivit-elle en l’embrassant. Elle m’a fait découvrir le plaisir et je ne pourrais plus m’en passer.— Comment vous en êtes arrivées là ? voulus-je savoir.— Oh, une autre fois, les histoires ! répondit Laëtitia en reprenant la main. Pour l’instant j’ai faim. Et tu nous dois toujours un ...
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