La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 698)
Datte: 20/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vas-y. Je t'écoute : s'exclama-t-il - Maître, m'avez-vous fait l'honneur d'un Cachot ou est-ce une erreur ? Je pensais ne pas en être digne encore, demandais-je en baissant mon regard. - Non, il n'y a pas d'erreur. Tu m'as été plus que dévouée de par nos échanges sur Skype, par ton engagement dans ton comportement exemplaire de soumise parfaitement obéissante mais aussi par ta présence ici en tant que telle. Alors comme tu as accepté de venir au Château en toute connaissance de cause, tu as mérité ce Cachot, maintenant, sans attendre, car je l’ai décidé ainsi … C’est une façon à Moi, de te montrer que je sais récompenser quand il le faut, autant que je saurai punir, s’il le faut. N’oublie jamais ça... - Je vous prie, Maître, d'accepter mes remerciement pour ce privilège que vous faites à Votre soumise. - Je le sais, Ma belle. As-tu d'autres questions ? - Non Maître pas pour le moment. - Bien, Je vais faire appeler pour que tu sois ramenée au Cachot. Tu dois te tenir prête parce que je te ferais venir quand bon me semblera auprès de Moi, à Mes nobles pieds ! - Oui Maître. Merci Maître de daigner apprécier ma modeste présence à Vos divins pieds. Monsieur le Marquis repartit vers le bureau et appuya sur une touche de l'interphone. Il demanda à Walter de me ramener. Quelques secondes plus tard Walter entra dans la pièce et empoigna ma laisse. Alors d’un signe il me fit comprendre de me mettre devant lui. Je m'exécutai et je me plaçai à quatre pattes devant Le Majordome qui me ...
... dominait et me toisait de haut... Puis d'un léger coup de pied, il m’obligea à me mettre en mouvement et c'est ainsi, poussée du pied, que je suis mise au pas, domptée, soumise et comblée. Je sortis ainsi tenue en laisse, Walter derrière moi, je suis nue et à quatre pattes quand il progressa lentement sur la moquette épaisse de ce couloir. Guidée parfois par les petits coups de pied du Majordome qui me dirigeait tout au long d’un des vastes et luxueux couloirs du Château. J’avançai docilement, il ne remarquait même pas les autres esclaves ou domestiques qui allaient et venaient le long de cet interminable couloir qui doit être, je suppose, l'axe principal, le coeur de La Noble Demeure au vu de sa longueur. Mais soudain, il me fit bifurquer et me fit emprunter un couloir secondaire, moins imposant que celui que l’on venait de quitter et Walter me mena jusqu'à un étroit escalier, assez abrupt, étroit et de pierre taillée, un escalier circulaire descendant en colimaçon dans les profondeurs du Château. Avec difficulté et appréhension, je descendis, toujours placée devant, lentement l'étroit escalier qui menait jusqu'à un petit vestibule carré, aux murs nus équarris, à l'exception du mur nord habillé d’une tenture bordeaux et dont une petite et ancienne porte ferrée occupe le centre de ce mur. Le Majordome sortit d'une poche de Sa veste une lourde clef de fer, il l'enfonça dans la serrure et tourna avant que d'appuyer l'épaule contre la porte qui, dans un grincement, s'ouvrit sous la ...