Journal d'un Escort Boy (3)
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
Hétéro
J’étais assez nerveux en montant dans le taxi qui allait m’emmener vers ma première soirée de travail. Je portais une chemise hawaïenne à dominante azur, un pantalon en lin bleu nuit, des mocassins en cuir brun et une veste sombre - la température baissait un peu la nuit. Je m’étais taillé la barbe et avait coiffé mes cheveux courts avec une pointe de gel pour les maintenir en arrière. Un peu avant 20 heures, le taxi me déposa devant la résidence de ma cliente. C’était une résidence cossue du centre ville, avec un interphone et deux sas de sécurité. Madame N. m’avait fourni les codes nécessaires, et je pus entrer sans problème. La cliente habitait un loft en duplex sur les deux derniers étages. Je pris l’ascenseur, afin de ne pas arriver essoufflé ou en sueur devant la porte. Au moment de frapper, je me sentis étrange de venir les mains vides. J’avais demandé à Madame N. si je devais apporter quelque chose, une bouteille de vin ou un bouquet de fleurs. Elle avait rit, puis m’avait répondu que je devais plutôt m’attendre à recevoir des cadeaux. Marie m’ouvrit la porte à peine ma main avait-elle quitté le bois laqué. Elle portait une robe simple, rouge, serrée à la taille, qui mettait en valeur sa petite poitrine, et des bas noirs. Elle s’était maquillée sans faire trop, avec notamment un rouge à lèvres éclatant et un trait d’eye-liner qui soulignait de beaux yeux clairs en amande. Ses cheveux noirs, coupés au carré, étaient ornés d’une barrette avec une belle imitation ...
... d’une orchidée. Elle me sourit en m’invitant à entrer. Elle semblait bien moins nerveuse que moi. Elle avait dressé une belle table, avec une nappe blanche et des chandelles. Elle avait commandé un repas simple chez un des meilleurs traiteurs de la ville. Ne connaissant pas mes goûts, elle avait choisi un menu classique, de cuisine française, agrémenté de vin rouge. Marie était très cultivée, et je mis sentis assez fier de pouvoir avoir une conversation intéressante avec elle. Plus le dîner avançait, plus je la trouvais attirante. Sa façon de sourire, en inclinant légèrement la tête. Celle dont elle tenait son verre. Ses moindres mouvements étaient empreints de charme. Vers la fin du dessert, je sentis son pied venir frotter contre ma jambe, alors qu’elle finissait son verre. Je restai impassible, mais avançai ma jambe sous la table. Marie posa son verre tout en faisant remonter son pied jusqu’à ma cuisse. Lorsque ses orteils atteignirent monentrejambe, je me résolus à laisser tomber mon masque d’indifférence. Elle me sourit. Et proposa de passer au salon. Je n’ai jamais été timide avec les femmes. Et en particulier, celles qui m’invitaient chez elles. Mais là, collé contre cette belle femme, dans son canapé, j’eus un moment d’hésitation. Marie, elle, savait ce qu’elle voulait. Le fait qu’elle payait pour devait l’aider aussi. Elle se lova contre moi, le bras autour de ma taille, son autre main posée sur ma cuisse, s’approchant irrémédiablement de mon entrejambe, que je sentais ...