Anna (le plombier 4) - Histoires de Sexe

Anna (le plombier 4)

Lundi matin dès que ma femme fut partie travailler (moi j'étais en vacances, ainsi que ma voisine nous sommes collègues) je me dirigeais chez Anna pour lui rendre ses clefs. J'avais un souvenir agréable du bord de la piscine et avais oublié l'épisode de la chaise longue je n' avais donc pas cherché d'excuses. Ma voisine m’accueillit en bikini. Je la voyais tous les jours sans vraiment la regarder, assez grande, un peu trop maigre à mon goût , des cheveux courts roux qui blanchissent. Dans cette tenue ses seins de taille moyenne sont joliment mis en valeur. Elle m'a un peu troublée. Je me suis ressaisi et lui tendit les clés. « - Merci mais entre, je veux te montrer quelque chose. » J'ai dû devenir tout rouge je ne savais pas quoi dire elle devait me parler de la chaise. J'essayais vite de trouver une excuse en la suivant, quand surprise elle ne se dirigeait pas dehors vers le bureau. Là elle me montre le PC et me dit de regarder . On me voyait en plein ébat avec Ludo. Devant mon regard interrogateur Anna me confia que juste avant de faire refaire la piscine ils avaient installé des caméras de sécurité. Elle a jeté un œil à cause de la chaise longue. Tu as de la chance c'est moi qui ai regardé et pas mon mari. Moi j'ai aimé le spectacle lui il se serait mis en colère. Et tu ne vas pas lui montré ? Bredouillais je. Non pourquoi ? A ta femme ça serait plus amusant. Non je t'en supplie garde ça pour toi . Ca va dépendre de toi ! Tu apprécies les ...

... fesses féminines autant que masculines j'espère. Euh oui bien sûr. Alors bouffe moi le cul ! J'avais compris je devais satisfaire madame pour qu'elle garde le secret décidément que de conséquences inattendues pour une fuite d'eau. Son bikini et mon short furent vite enlevés. Elle se penche sur le bureau, je me mis à genou derrière elle et entreprit un anulingus. J'écartai ses fesses avec mes mains pour mieux y glisser ma langue. Une fois bien entré dans son orifice anal mes doigts s’aventurèrent sur son clitoris. Ses soupirs et le jus qui coulait entre ses cuisses m'encouragèrent à aller plus loin. Je pus introduire deux doigts, puis trois, puis la main ! Ma langue cessa son travail et je me concentrai sur son fisting. Mon dieu une si petite fente pouvait recevoir toute ma main. Il ne fallu pas longtemps pour qu'elle jouisse. Elle et moi léchâmes mes doigts plein de cyprine et puis nous échangions notre premier baiser. Pendant que nos langues tournoyait elle me branlait doucement. Je m'assis enfin sur la chaise du bureau et elle vint empaler son anus bien lubrifié par ma langue sur mon phallus au garde à vous. Je ne voyais plus que ses épaules montaient et descendre de plus en plus vite. J’eus à peine le temps de m'agripper à ses seins que ma semence jaillit dans son rectum. Elle m'embrassa une dernière fois puis me proposa de faire voiture commune après nos vacances pour nous rendre au travail. Nous avons par la suite connu beaucoup de panne.