Lola
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
rousseurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
photofilm,
... de ses doigts qui vont et viennent dans l’entrée de son vagin. Le rose des muqueuses luisantes de cyprine contraste avec la blancheur opaline des doigts. De temps à autre, elle ressort totalement ses doigts et va caresser l’anneau culier, provoquant des spasmes de son petit trou. Tous ses mouvements s’accélèrent. Lola ne respire plus, elle ahane et lâche des petits cris de plaisir. Le pouce a trouvé l’entrée de son anus. Largement enfoncé, allant et venant à un rythme soutenu, la rosette serrée fait un anneau autour de la première phalange, tandis que des ces autres doigts, elle pénètre son vagin et continue avec son autre main à masturber son clitoris. De longs jets de cyprine s’écoulent et trempent les mains. Le corps se tend. S’arc-boute. Les muscles tressaillent. Se durcissent. Le ventre se creuse, puis se bombe. Les fesses décollent des peaux de mouton, restent en l’air un court instant et retombent gracieusement. Les seins, lourds aux tétons en érection, se soulèvent au rythme de la respiration saccadée. Lola depuis un long moment a ouvert ses yeux, mais son regard semble rester dans le vague, ou du moins, fixer un point lointain qu’elle contemple avec gourmandise, en souriant. Ses lèvres, légèrement entrouvertes laissent éclater la blancheur d’une dentition parfaite. De temps à autre, la langue rose et pointue vient les humidifier, passant sur l’ourlet intérieur de façon suggestive et gourmande. Tout en déclenchant mes appareils je ne peux rester insensible au ...
... spectacle de cette jeune femme qui offre au voyeurisme de mon objectif, son plaisir intime. C’est vrai qu’elle est belle, qu’elle est magnifique dans cet instant où son plaisir est à son apogée. Elle semble irradier sa jouissance. Et si mon pantalon marque une bosse, preuve évidente de mon excitation, je me dois de rester professionnel et me contenter d’être un spectateur attentif. La respiration de Lola tend à redevenir normale, plus sereine, plus apaisée, son corps se détend. Les doigts, engourdis par la pression du plaisir semblent retrouver, eux aussi, leur autonomie. Elle retire ses mains de son entrejambe et de ses fesses. Reprenant ses esprits, elle secoue la tête de droite à gauche et tel un ressort libéré de son support, se redresse. — Est-ce que c’était …— Oui, ….C’était !… Je cherche mes mots. — Merci. Dit-elle d’un ton simple en baissant les yeux. Je peux me rhabiller ?— Bien sûr ! Tout en rassemblant mon matériel, je jette un dernier coup d’œil concupiscent vers ce corps qui se lève et se dirige avec une démarche naturellement gracieuse vers le tabouret où s’accumulent pêle-mêle les vêtements. En quelques gestes assurés, le corps disparaît sous les couches de linge et ne reste dans ma rétine que l’image du corps nu qui balance des hanches et se penche vers une minuscule culotte. Dans un dernier regard, Lola se dirige vers la porte et si je ne lui avais pas proposé un rendez-vous pour venir voir les clichés et en faire une sélection, elle serait peut-être partie sans mot ...