1. Mention Bien


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, voisins, vacances, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe init,

    ... des adultes. Un peu comme ma mère, réservée, toujours sobrement vêtue, refusant d’enlever le haut sur la plage alors que Vincent te titillait souvent sur le sujet. Ainsi tu as un amant ! Et quel amant ! Un jeune, quoi, à peine cinq ans de plus que moi. Femme cougar, toi ! Sous mes yeux je te vois sucer la queue de ce gars avec une gourmandise non feinte. Ainsi vous avez déjà fait l’amour quatre fois et tu n’es pas rassasiée. C’est ton Julien qui t’a lancée, mais maintenant il n’est plus nécessaire de t’encourager. T’encourager ! Si, ton amant te parle mais tu ne lui réponds pas, la bouche bien pleine de son vit de belle taille, plus gros que moi. C’est par ton regard que tu lui parles. C’est par tes gestes que tu lui réponds. — Oui, gobe-moi bien… Les couilles, oh oui lèche-moi les couilles… Putain, que tu es bonne… Ton mari a de la chance de t’avoir sous la main tous les jours… Bordel, comment tu fais pour me prendre en entier… ? Il a raison, comment une bouche peut-elle absorber sa queue si longue et dure jusqu’à ce que les lèvres butent sur les bourses. Ainsi c’est possible. Pas seulement dans des vidéos avec des femmes manifestement expertes et professionnelles. Non, dans la vraie vie. J’ai un instant l’idée malsaine, que je chasse aussitôt, de ma mère dans la même situation avec mon père. Allons, Axel, ne pense pas à cela. Concentre-toi sur le spectacle grandiose que t’offre ce couple. — Arrête. Arrête. Je vais venir. Je veux te prendre et te faire hurler. Tant pis pour ...
    ... les voisins. Lily se relève. Son visage montre des traces de salive qui coulent de façon obscène. Le gars la pousse sur la table, chassant d’une main le petit déjeuner. Elle s’allonge sur le ventre. La nuisette n’est plus qu’un chiffon roulé sur ses reins. Ses seins laiteux se frottent au bois du plateau et ses fesses blanches tranchent sur le teck patiné au soleil et à la pluie. La vision est fugitive car déjà le Julien qui s’est enveloppé le sexe avec une capote, s’est collé contre elle et l’enfourne d’un « han » conquérant. Nul doute que la chatte ne le reçoive avec envie, déjà gonflée et humidifiée par l’attente. Ophélie sait manifestement ce qui l’attend. Ce n’est pas une découverte car alors que le gars la bourre avec force, elle s’est déjà accrochée à la table pour ne pas chavirer. Par contre on ne peut pas dire la même chose du matériel et de la nourriture qu’ils ont abandonnés à côté d’eux. Petit à petit, tout tombe dans l’herbe et Lily a la présence d’esprit de se saisir d’une tasse en porcelaine que la puissance des secousses aurait réduite en miettes. Combien de temps lui fait-il subir ses avancées ? Je ne sais pas, mais longtemps, à la mesure de mes quelques expériences. Ophélie ne s’en plaint pas, au contraire. À nouveau elle chasse de ma mémoire la vision de cette voisine si réservée pour laisser la place à une femme que son amant possède avec force et qui apprécie, si j’en juge par les petits cris qu’elle pousse, gardant tout de même la raison de ne pas hurler ...
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