1. Aventure dans un gîte naturiste (12)


    Datte: 21/07/2021, Catégories: Hétéro

    LE GITE NATURISTE.12 ANNE C’est donc à moi de raconter la suite. Jean est plus petit, plus râblé que Patrick et très poilu, un vrai singe. La partie de pétanque est finie. Alors que je vois Patrick bavarder avec la Danoise qui a des seins vraiment impressionnants et son mari, moi je propose à Jean une promenade dans la nature. Il accepte avec empressement et nous partons par le sentier vers la forêt. J’ai cru voir que le vieux beau nous regardait partir, il regarde aussi Patrick et le couple des étrangers. Il semble hésiter et retourne vers son bungalow qui est le plus près de la forêt. Jean et moi bavardons comme de vieux amis que nous ne sommes (pas encore). Je sens bien que tout en marchant il ne peut détacher les yeux de mes seins, enfin de mes mamelles devrais je dire, qui ballottent au fil des pas. Et coquine comme je suis, acceptant aussi mon âge, et ma poitrine de femme mûre qui est un peu lourde, je marche en sautillant discrètement afin que cela ballotte vraiment. Et je ne peux m’empêcher de le regarder, lui, si différent de Patrick. Oh pas plus beau ni plus viril mais peut être plus animal avec ses poils et intéressant avec son sexe court et épais. Patrick a une bite splendide mais je crois que Jean le bat un peu au niveau grosseur. A vérifier ! On traverse les prés et entrons dans la forêt, le chemin est large, on marche côte-à-côte et on bavarde. Il est un peu curieux. — Patrick est votre compagnon? — Non c’est un ami. — Un ami que vous fréquentez beaucoup ? — ...
    ... Oui c’est disons un ami de mon couple, Pierre mon homme, vient dans 2 jours.. — Un ami de votre couple, intime et régulier ? — Oui, on se retrouve souvent pour des moments sympas de complicité. — Et pourquoi ici ? — Car lui et moi et mon homme sommes naturistes. Et je sens qu’il est de plus en plus intéressé. — C’est un bel homme, ce Patrick. — Oui il me plait et me convient. — Et il vous comble ? — Vous êtes bien curieux, dis-je rougissant. Alors il se tourne vers moi, on s’arrête et il me dit froidement : — Avec ce qu’il a entre les jambes vous devez le sentir passer. Moi je suis estomaquée, ne sais pas quoi lui répondre, je me reprends et provocatrice je lui lâche : — Rassurez-vous, cela me fait beaucoup de bien là où il passe, il me comble. Le laissant dans le doute. Cette fois-ci c’est lui qui semble surpris par ma hardiesse et pour détendre l’ambiance je poursuis en flattant son ego : — Vous êtes très séduisant aussi et avez deux choses que Patrick n’a pas. — Quoi donc ? — Vous êtes poilu comme un ours et votre sexe semble plus épais que le sien. Alors sans que je m’y attende, il me prend mes deux mains, en pose une sur son poitrail velu et l’autre sur son sexe. — Touche et caresse, me dit-il. C’est ce que je fais sans honte, sans gêne, face à face, au milieu de cette forêt. Son pénis grossit, épaissit. C’est ce que je pensais, un sexe court et épais mais ma main me servant de mesure, je me rends compte que son sexe est de même calibre que celui de Patrick. Le contraste ...
«123»