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Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Marie.
Datte: 21/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... échanges sur le « Minitel rose » qui d’ailleurs n’allait pas tarder à céder la place au même genre de site sur internet. Tout en examinant les objets que Marie me présentait, nous avons commencé à bavarder sur un ton léger et je me suis fait connaître par mon pseudo et en lui disant le sien. Elle a rit discrètement et nous avons continué notre conversation. C'était presque l'heure de la fermeture. Je lui ai offert de prendre un pot ensemble ce qu'elle a accepté sans difficulté. Mon choix étant fait, j'ai payé et quitté le magasin. Moins de dix minutes plus tard, précédée de peu par la blonde, Marie sortait par une porte jouxtant la boutique En fait, c’était elle la propriétaire de ce commerce… Bras dessous, bras dessus, comme deux amis de longue date, nous nous sommes dirigés vers un restaurant que j'avais repéré au passage. Nous nous sommes installés dans un coin discret de cet établissement très cosy et confortable où nous avons continué à bavarder tout en dinant légèrement. La soirée s'écoulait lentement, très agréable. Nous échangions des souvenirs de rencontres en clubs, lieux que l'un et l'autre nous fréquentons de temps à autre. Marie me racontait comment lors d'une virée au printemps à Saint Cyr sur Mer, elle s'était fait prendre en double pénétration par son mari et une noir bien membré qui l'avait sodomisée longtemps jusqu'à la faire partir deux fois de suite sans sortir de son anneau plissé. De mon côté, je lui disais qu’à mon âge, ma préférence allait plutôt vers ...
... les femmes "couguar" dans son style et leur expérience en matière de sexe sans complexe. Par contre de temps à autre, je ne dédaignais pas honorer une jeunette qui m'excitait particulièrement, mais je ne descendais que très rarement en dessous de la trentaine d’années… Ces propos coquins n'étaient pas sans conséquence, ma bite était légèrement bandée dans mon boxer et Marie devait être chaude aussi car elle ne cessait de croiser et décroiser ses jambes, faisant crisser le nylon de ses bas. Mais elle a achevé de me faire monter lorsque j'ai senti un de ses pieds venir se poser sur mon entrejambe. Heureusement la nappe couvrant la table masquait son manège. L'invitation à passer à quelque chose de plus sérieux était sans équivoque. Comme le repas était terminé, c’est en quittant la brasserie que Marie m’a dit : • Dis-moi où est ton hôtel que je t'y retrouve ! Nous avons repris nos voitures dans deux parkings situés non loin l'un de l'autre et une demi heure plus tard Marie arrivait dans ma chambre. J'avais eu le temps de prendre une douche rapide. Nous nous sommes enlacés et posant mes mains sur ses hanches je me suis collé à elle. Immédiatement elle a entrepris de masser ma bite par une danse lascive du bassin. Je suis parvenu à défaire la ceinture qui marquait sa taille et en remontant son sweet-shirt, je suis allé agacer le bout de ses seins généreux au travers des bonnets du soutien gorge : • Oui, vas-y ! Agace mes tétons, tu sais combien ils sont sensibles aux caresses ! ...