Maman au concert (4)
Datte: 22/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Maintenant, va plus vite si tu veux, mon amour. Elle se recule un peu pour être pénétrée plus à fond. Je m’active alors davantage et glisse une main entre ses jambes pour titiller son clitoris, alors que mon autre main continue à pétrir ses seins durcis. Elle tremble de tous ses membres alors que j’accélère le rythme. Elle geint, soupire et son extase monte de plus en plus, la mienne également et je fais tout pour ne pas exploser trop vite. Quand les spasmes de son orgasme deviennent trop intenses, et que je sens le mien imminent, je me retire d’elle, sans cesser de lui caresser le bouton. Et …j’éjacule spontanément sur sa fesse, alors que sa propre jouissance résonne encore bruyamment dans les bois. Quand elle reprend son souffle, ses premiers mots sont : — Putain ! Que c’était bon !. Ce qui me surprend, car elle n’est jamais grossière d’ordinaire — On pourra recommencer alors? — Oh ça oui mon chéri ! Jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir qu’avec toi ! — Ça fait trois fois aujourd’hui, si je compte bien ! — Et la journée n’est pas finie, rentrons vite à la maison. Ajoute-elle, totalement enfiévrée. Je ne la reconnais plus, elle se comporte comme si elle découvrait les plaisirs du sexe. Ou bien est-ce le tabou de notre relation qui la transcende ainsi ? Moi, je ne vais pas m’en plaindre, ce désir secret que j’avais pour elle se transforme en une réelle passion entre ...
... nous. Ce n’est pas si vite que cela que nous rejoignons la voiture. Le temps de nos baisers passionnés, tous les dix mètres, est responsable de cette lenteur à parcourir le chemin de retour. Elle murmure en m’enlaçant une nouvelle fois : — Je suis si heureuse, mon chéri. — Et moi, maman, si tu savais… — Je vais t’avouer quelque chose … — Quoi ? — Depuis l’autre soir, au concert quand tu étais si serré contre moi, j’ai des tas de pensées perverses ! Je repense sans arrêt à cet homme qui faisait glisser son sexe contre mon derrière. Je savais bien que c’était toi, mais je m’imaginais que c’était un inconnu. Je ne voulais pas admettre que mon fils ait autant changé ! Tu es devenu un beau garçon et j’en suis fière en tant que maman, mais j’ai aussi pris conscience de l’attirance que j’éprouve pour toi. Quand tu m’as offert ces disques, je l’ai pris comme le plus beau des cadeaux, mais maintenant, je sais que c’est toi mon plus beau cadeau. — Moi, ça fait longtemps que je pense à toi. Tu es souvent dans mes rêves les plus audacieux. — Petit vicieux, va ! ybayrrok — Non, je rêvais de faire l’amour avec toi, sans espérer que cela fût possible un jour — Et moi, je n’aurais jamais pu imaginer éprouver autant de plaisir à refaire l’amour et il faut que cela soit avec mon fils ! Rentrons vite mais avant embrasse-moi encore ! Comment refuser une telle chose à sa mère… FIN (peut-être ?)