1. Christine II : Retour de flammes (2)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Hétéro

    ... quatre ans, mais plus lourds. Je souris, elle m’avoue avoir pris un bonnet. Elle se redresse, recule légèrement et déboutonne mon jeans. Elle se mord la lèvre inférieure en souriant. Elle le descend un peu, glisse la main dans mon boxer et sort ma queue. Elle la regarde et je sens qu’elle va dire quelque chose. Elle prend néanmoins son temps, me masturbe doucement. Elle glisse de mes genoux pour s’agenouiller par terre. Lentement, elle s’approche de mon sexe, le prend en bouche et entame une divine fellation. Christine revient ensuite à califourchon sur moi et introduit mon sexe illico dans le sien, détrempé. Les yeux clos, elle va-et-vient lentement sur ma pioche, ondulant des hanches. Elle jouit rapidement et s’effondre contre mon épaule. Elle ne bouge plus. Je l’embrasse. Je la laisse ainsi, elle reste quelques secondes avant de se redresser. Elle enlève sa robe par la tête et reprend ses va-et-vient, plus vifs et plus profonds. Elle gémit à plusieurs reprises. Je sens monter l’éjaculation. Je jouis, elle aussi. Je m’allonge sur le canapé avec Christine sur mon torse, enlacés. Rhabillés, nous rangeons la cuisine puis revenons au salon. Christine met un CD, les tubes de l’été 1995. Elle s’approche de moi, s’accroche à mon cou et nous commençons à danser lentement. Baisers. La main de Christine glisse sous mon pull. Je l’enlève. Elle glisse dans mon pantalon. Je le retire. Mon caleçon tombe avec. Je bande dur ce qui ne nous aide pas pour danser correctement. Nous rions. ...
    ... A mon tour, je fais tomber les bretelles de la robe de Christine. Elle la retient. J’écarte doucement ses bras, la robe tombe à ses pieds. Elle rougit comme une pivoine et se love contre moi. Nous dansons nus. La chanson touche à sa fin. La suivante débute, le son est trop fort. Christine s’agenouille vers la chaine stéréo pour couper la musique. Vision fugace de son gros cul à quatre pattes. Elle se relève, revient vers moi. Je l’assieds alors sur le fauteuil derrière elle, m’agenouille entre ses jambes et lèche alors doucement son sexe, ses lèvres, son clitoris. Elle a des spasmes, des sursauts. Elle écarte largement ses cuisses et ma langue fouine de l’intérieur de son vagin au sommet de son clitoris. Elle a un puissant orgasme. Elle m’attire à elle et guide mon sexe dans le sien. J’attrape ses chevilles de part de d’autre de mes épaules. Je regarde mon sexe aller et venir dans son abricot qui rougit petit à petit. Les "Encore !", "Oui !", "C’est bon !" et autres "Plus fort !" de Christine décuplent mon excitation, si tant est qu’elle puisse l’être. Nous baisons, j’adore. Je me retire, Christine descend du fauteuil, se tourne et s’y accoude. Je me recule, mate son cul quelques secondes, excité. Elle sourit et rougit. Je la pénètre lentement et je vais et viens en cadence. Accroché à ses larges hanches, je fais de longs va-et-vient en elle avant de vivement la pilonner. Elle gémit bruyamment à mes coups de rein, se caresse, jouit, en redemande. Cinq bonnes minutes d’une ...