1. Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (2/2)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    On frappa à la vitre de la portière et celle-ci s’ouvrit. Je fus invitée à m’extirper, en compagnie du chauffeur, de la voiture. J’étais donc en tenue plus que légère en pleine rue et rapidement l’on me poussa à l’abri d’une porte, la chair de poule sur la peau. Mon chevalier servant m’indiqua de ne pas m’inquiéter pour l’ensemble de mes affaires restées dans le coffre ou sur le siège arrière. Puis la voix de mon mari presque moralisatrice apparue, me reprochant d’avoir mis du temps depuis l’arrivée en gare à me présenter à lui ! « C’est de ta faute lui répondais-je avec bravade – Tu m’as livrée entre de bonnes main qui ont su très bien s’occuper de moi, ma sécurité et mon corps. Tu n’avais qu’à assurer toi-même la chose ». Puis des mains multiples vinrent se saisir, se poser sur , explorer, fouiller, pénétrer mon corps et mes orifices. Une langue s’est emparée de mes lèvres et de ma bouche et je fus propulsée dans une mêlée de sollicitations des sens en tous genres. J’étais prise dans un tourbillon de bestialité mêlée de respect très surprenante car ce type de rencontre était fortement interdit à mon mari. Je devenais un objet ou un jouet pour des hommes que j’imaginais être une multitude. Mes mains explorèrent tout autour, se frayant un chemin dans cet enchevêtrement de membres. Les torses étaient nus mais les sexes encore emballés dans les sous-vêtements. Mais une chose est sure, c’est que ces membrures étaient déjà toutes disponibles et au garde à vous. Je fus assise sur ...
    ... un tabouret très haut, des bras virils assurant mon équilibre et mon sexe fut investit en une seule poussée par un membre imposant. J’accusais le mouvement en ouvrant la bouche dans laquelle deux doigts furent insérés et à leur goût je savais qu’ils étaient passés dans mon vagin juste auparavant. Des sexes se frottaient à moi, mes seins étaient palpés, triturés, pincés avec justesse. On retira mon rosebud après avoir joué avec, le frottant par un angle sur le sexe qui me pénétrait avec une virilité décidée. « Elle aime çà ta salope ! » fusa dans la pièce et alors que j’allais m’offusquer, le rosebud fut placé dans ma bouche « suce ton bijou, fais le briller » ajouta la voix. Mon cerveau fit alors tilt. Je m’exécutais. J’abandonnais alors toute résistance ou respect de mon corps et je laissais ma propre bestialité prendre le dessus de manière inhabituelle. C’était juste grandiose et divin de se laisser aller complètement. J’eu une série d’orgasmes à intervalles très courts, les sexes défilaient dans mon vagin avec intensité et expérience. Je ne savais pas qui et combien mais je ressentais leur complicité masculine et surtout l’excellente lecture qu’ils avaient de mon plaisir et de ma montée vers l’orgasme. Je fus portée du tabouret vers un martelât ou quelque chose comme çà. Puis l’on me fit allonger et m’empaler sur un sexe très long. Celui-ci vint se caler sur mon utérus et je le senti qui glissait au dessus du col pour venir appuyer sur ma vessie. Un 2ème sexe vint se loger ...
«123»