Mon dentiste (3)
Datte: 22/07/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
caférestau,
toilettes,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
préservati,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fsoumisah,
... jouir le premier assez rapidement sur mon épaule. Il s’en excusa et proposa à mon amant de prendre sa place, ce qu’il ne fit pas, et garda sa place de spectateur ! Le second fut plus dur à " terminer ", mais à force de travail, il essaya de me contraindre d’avaler sa semence en plaquant ma tête contre son sexe. C’est avec un effort et une légère contorsion que j’esquivai son premier jet, le second, et le troisième… Pensant qu’il avait fini, j’allai replacer son sexe en bouche, quand un dernier jet heurta mon œil ! Avec professionnalisme, je redonnai quelques coups de langue et demandai au premier, s’il voulait un deuxième essai. Mais il refusa en me remerciant. Sans plus aucune gêne je me relevai nue devant eux, les genoux meurtris par le carrelage. J’essayai tant bien que mal de nettoyer le sperme, ma paupière supérieure gonflait à vue d’œil…« C’est malin ! », pensai-je en me rhabillant. En sortant, j’avais l’impression que personne n’avait aucun doute sur ce qui venait de se passer. Le sourire du serveur mit fin à mes dernières barrières. Je le regardai fixement dans les yeux en m’adressant à mon amant : — Il faudra revenir !— Oui ! Mais c’est l’heure, on nous attend ! Mon mentor paya, nous prîmes congé de ce lieu charmant, sous le regard de nos deux commerciaux qui étaient accompagnés d’un homme bedonnant. J’avais échappé au pire ! — Où m’emmènes-tu ? osai-je avant de pénétrer dans la voiture.— C’est une surprise ! J’étais prête à tout et je crois que j’avais très ...
... envie de connaître mes limites. Il n’y avait plus aucun doute sur mon envie de me faire baiser ! C’est à Luynes que je devais me découvrir… enfin, mon chauffeur tournait depuis cinq minutes dans le centre. Il avait oublié l’adresse exacte du lieu de rendez-vous quand enfin, à la vue d’une petite école, il s’écria : — Nous sommes arrivés ! dit-il, presque fier de lui. Il ne lui fallut pas deux minutes pour trouver une place pour se garer. Très galant, il ouvrit ma porte, et prit ma main pour me faire sortir, puis passa sa main autour de moi, comme si nous étions un couple légitime ( j’adore cet instant quand j’y pense ). Je cherchai donc du regard un lieu libertin, mais rien…rien qui aurait pu me mettre sur la piste. Tout en marchant amoureusement, nous nous sommes arrêtés devant la porte d’un magasin vitré recouvert de blanc d’Espagne ( pour les néophytes comme moi, c’est ce jour que j’ai appris que la peinture blanche qu’on applique sur les vitres des magasins en réfection s’appelait ainsi ! ). — Entre et surtout sois une vraie petite salope ! me dit-il. Nous sommes rentrés, un homme s’affairait à peindre une colonne, torse nu, vêtu juste d’un pantalon blanc et de grosses chaussures. Sa musculature ressemblait à mon Nico. — Bonjour ! nous lança l’ouvrier avec un accent parisien.— Bonjour ! C’est lui ma surprise ? demandai-je en interpellant mon amant, avec mon petit sourire coquin. Je cherchai du regard un endroit pour savoir où nous allions bien pouvoir nous amuser, mais une ...