Un matin d'été
Datte: 12/11/2017,
Catégories:
fhh,
couplus,
inconnu,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
Bastille - J’étais avec ma femme dans le métro, c’était l’heure de pointe, une matinée de semaine synonyme de travailleurs stressés et de cohue. La gare de Lyon avait engouffré son flot de voyageurs pressés d’aller en découdre. Mais pas pour nous, c’était congé, c’était l’été, et nous voulions nous promener, profiter d’une belle journée pour aller d’abord aux Tuileries. St Paul-Le Marais - Ma femme était adorable, comme toujours. Elle avait revêtu une petite robe de jean bleu, assez courte, et fermée sur le devant par des boutons. Ce matin, je l’avais vu enfiler un string arachnéen plus que minimal. Alors qu’elle se comprimait contre moi dans la rame, me tournant le dos, je me disais que c’était l’occasion ou jamais. J’avais vraiment envie de passer ma main sous sa robe, de flatter sa croupe parfaite, d’immiscer mes doigts entre ses fesses, de sentir ces poils qu’elle a nombreux, j’adore cela. Les pubis épilés, glabres, cliniques des films pornos me laissent froid. J’aime les poils, les odeurs, et spécialement celles du sexe et du cul de ma femme. Je l’ai sentie se figer lorsque je glissai ma main droite sous sa robe légère. Je pris sa petite fesse dans ma main, la soupesai. Je n’en revenais pas de mon audace, je prenais décidément de l’assurance, et je savais qu’elle aussi était en train de s’émanciper, la preuve en était son absence de réaction hostile. Quelques années de mariage, la meilleure connaissance du conjoint, la confiance mutuelle, tout cela avait provoqué chez ...
... ma femme une relaxation concernant les choses du sexe. Je savais qu’elle pouvait aller bien plus loin que moi, même si j’étais capable de fantasmer sur les scénarios les plus crades. Mais dans la vraie vie, j’avais toujours peur d’être pris sur le fait, par exemple. Je surpris le regard du type à ma gauche, alors que je glissais un doigt à l’orée du sexe de ma femme. Le type me souriait, quant à ma femme, elle ne s’était pas rendue compte qu’elle était observée. Pris d’une impulsion subite, je retirai ma main, et pris celle de l’homme, qui comprit sur le champ. Sans un mot, je la tirai vers le bas, et c’est lui qui prit en main le cul de ma femme. Je me demandais si elle se rendrait compte du changement. Je guettais ses réactions, tandis que je discernais le poignet mouvant de l’homme. Il s’en passait de belles là dessous. Que lui fait-il ? Il doit bien bander, le salaud. Je la vis soudain réagir, quelque chose l’avait surprise. Je lui dis vite à l’oreille « Ne crains rien ». Elle tourna la tête vers moi, et je vis dans ses yeux un affolement lié à la compréhension de la situation. Hôtel de Ville - Je remis ma main sous sa robe, et rencontrai les doigts fureteurs, rodant entre le sexe et le trou du cul. Le sexe de ma femme était poisseux, gras, elle écartait les jambes au mieux pour y donner accès, je décidai d’y mettre un doigt. Je tentai de discerner son visage, voir sa réaction, une crispation, de l’embarras, je ne voyais rien. Je sentis seulement sa main droite appuyer sur ...