Soirée entre amis (1)
Datte: 23/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Mia – Jérémy et moi sommes presque prêts lorsque Marie et Kenny, nos voisins, frappent à la porte. J’abandonne mes légumes et mon couteau en céramique pour rejoindre mon homme parti leur ouvrir. Je suis tout sourire, j’ai hâte de passer ces quelques heures avec eux. Cela fait plusieurs fois qu’on s’organise ce genre d’apéro dînatoire, et nous sommes de plus en plus proches : pas de temps morts, discussions futiles, sérieuses, drôles ou limite intimes, je sens que nous pouvons dorénavant les considérer comme des amis. Kenny – Décidément, quelle femme magnifique cette Mia ! Elle a cette manière si particulière de s’habiller sexy sans s’en rendre compte, sans en faire trop. Ce soir ne déroge pas à la règle : le tissu de son haut est très fin, et son soutien-gorge n’est pas rembourré, laissant s’épanouir ses seins. Je crois qu’on devine très légèrement ses mamelons et ses tétons en transparence, mais c’est très discret. Sa jupe est courte et dégage généreusement ses cuisses lorsqu’elle s’assoit. Mmm qu’elle est désirable ! Marie – Je profite que Mia n’a pas terminé ses préparatifs pour l’accompagner dans le coin cuisine. Nos hommes parlent sport dans le salon, c’est l’occasion d’un moment entre filles. « Alors cette grossesse ? Comment ça se passe ? Pas trop dur ? », me demande Mia. Je m’attendais à la question, tout le monde me la pose, à l’approche du cinquième mois, et je sais que Mia est angoissée à l’idée de voir son propre corps se déformer, quand elle devra elle aussi ...
... porter un enfant. — Tout se passe bien ! J’ai de la chance ! — Génial ! Et… — Oui ? — Au niveau… sexuel ? — Ah… J’hésite, pour la forme, mais en réalité j’espérais cette question, et je suis prête. — Eh bien, ce n’est pas idéal. — Ah bon ? Je croyais que les femmes enceintes avaient… très envie. — C’est le cas, mais je me sens… comme gênée physiquement, tu vois ? Avec Kenny, on avait une sexualité débridée, mais là, je sens que je ne suis pas en pleine possession de mes moyens, qu’il y a plein de choses qu’on ne peut pas faire… C’est même pire que ça : je crois que je suis un peu inhibée… Je sens Mia un peu gênée, mais compatissante, alors je poursuis. — En fait, on ne fait plus l’amour. — Ah mince ! Mais… comment le vit Kenny ? Enfin, comment vous, le vivez-vous ? — On a beaucoup discuté, et je lui ai proposé, comment dire, de vivre ces quelques mois… un peu plus librement. — Euh… qu’est-ce que tu veux dire ? A quel point ? — Eh bien on est d’accord, il ne doit pas en profiter pour me quitter, trouver une autre femme, bien évidemment, mais s’il doit craquer, s’il est trop en manque, pourquoi pas ? Je préfère qu’il se soulage, qu’il me raconte, j’en serais très excitée et pourrais m’en inspirer pour me faire plaisir toute seule, tu vois ? Plutôt qu’il cherche une maîtresse sérieusement… — euh ok… Mia – Il me faut quelques minutes pour digérer l’information. J’en finis enfin avec ces légumes que je dois découper en bâtonnets. Nos hommes ne semblent pas s’offusquer de notre ...