Le monde à l'envers
Datte: 12/11/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
vacances,
plage,
danser,
toilettes,
vengeance,
jalousie,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
confession,
... tellement profonde que j’ai cru qu’il allait me bousiller les ovaires. Comme je lui avais déjà vidé les couilles deux fois ça a duré longtemps. C’était comme des décharges électriques qui me parcouraient le corps et qui s’enchaînaient les unes aux autres. Je n’aurais jamais cru pouvoir autant jouir. Il m’a laissée pour morte. Quand il est reparti il m’a complimentée :— Tu es bonne, toi, tu jouis facile, tu bouges bien et tu aimes la bite. On recommence demain ? J’ai répondu que cela dépendait de toi. Voilà, chéri, conclut-elle. On continue nos conneries ou on arrête ? C’était clair. Pour elle, j’étais responsable de tout. Que dire ? J’étais désespéré. J’étais cocu. Cocu de chez cocu. Élodie m’avait trompé avec un vrai étalon et elle avait pris un pied pas possible. En plus c’était ma faute ! Des larmes me sont montées aux yeux devant tant de gâchis. — Mais pourquoi me suis-je laissé entraîner par cette pute ? me lamentai-je entre deux sanglots. Je t’aime tant. En plus, elle est dix fois moins jolie que toi. Comment être aussi con ? Élodie, me voyant effondré, changea d’attitude. Elle s’approcha pour me prendre dans ses bras. — Ce n’est pas une pute, chéri, m’expliqua-t-elle. C’est une fille qui n’est pas gâtée par la vie. Son mari a eu un accident de moto. Il a pris un poteau dans le bas-ventre, ils lui ont mis des couilles en plastique. Inutile de te dire qu’il est carrément impuissant. Alors, en vacances elle s’éclate et il ferme les yeux. S’il y avait eu le moindre risque ...
... pour notre couple je ne te l’aurais pas mise dans les pattes. J’ai mis quelques secondes à percuter. — Tu… tu as fait exprès de me laisser seul avec elle ? bafouillai-je.— Oui. Je ne me suis jamais foulé la cheville.— Je ne comprends pas. Pourquoi as-tu fait ça ?— Parce que cela ne pouvait plus durer comme ça, chéri. Tu ne me fais plus l’amour que le week-end. Ton boulot passe avant tout le reste. Tu ne me regardes plus, tu ne me désires plus. J’en souffre de plus en plus, tu le sais. Je t’en ai déjà parlé et rien ne change. C’est le monde à l’envers ! D’habitude ce sont les femmes qui ont des prétendues migraines.— Mais, chérie, je ne t’ai jamais refusé un câlin, protestai-je. Sous la couette ce n’est pas compliqué de m’en donner envie.— Comment veux-tu que je me sente aimée et désirée si j’en suis réduite à te branler ou à te sucer pour te donner envie de me faire l’amour ? Mets-toi à ma place ! Accablé, je ne répondis pas, espérant laisser passer l’orage. — J’ai d’abord pensé que tu avais une maîtresse, continua-t-elle. Je me suis mise à éplucher tes mails, tes contacts, tes SMS et ton emploi du temps. Rien ! Aucun message bizarre, aucun rendez-vous bidon. Je me suis ensuite demandé si pour travailler aussi tard, tu ne sautais pas sur un coin de son bureau une jolie petite secrétaire. Enquête faite, fausse piste également ! Restait une dernière explication : étais-tu malade pour avoir une libido en berne ? Rappelle-toi, je t’ai envoyé passer un bilan. Rien non plus ! J’en ...