1. Je ne voulais pas tromper ma femme avec ma voisine (3)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... rondelle si tu ne veux pas trop souffrir, quoi que Jean n’soit pas très large, cela devrait pas être trop douloureux. – Tu ne veux pas avant me faire un pétale de rose au préalable. – Mais je n’ai pas de digue dentaire. – C’est quoi ce truc ? – Un truc de lesbiennes pour ne pas attraper d’IST lors des rapports, mais je plaisantais. Jean, toi qui es spécialement doué, j’ai vérifié, tu ne veux pas t’en charger. – Bien volontiers, vu que c’est moi qui vais en profiter Sans attendre, il commence à lui faire un anulingus d’anthologie, ce qui amène rapidement Enrico à avoir une bandaison sublime. Mais Jane, connaissant que c’est une gâchette super rapide, digne d’un bon western et ne voulant pas prendre le risque de recevoir sa douche des ovaires réagit : – Arrête, sinon il va partir et ça, je n’ai pas envie de perdre cette bonne marchandise, tartine-lui le rectum et on passe à l’action. – Vous pouvez déjà vous mettre en place, je vais m’occuper d’Enrico doucement et tranquillement pour qu’il garde un bon souvenir de ma visite. Les trois autres se mettent en place, Martine en premier en ouvrant grand son compas à la convoitise de Jane. Elle de son côté se fait enfiler brutalement par Enrico qui n’en peut plus d’attendre pour libérer ses spermatozoïdes dans les ovaires de Jane, surtout que Jean, bien intentionné lui prépare avec amour le trou du cul qu’il prend tendrement en enfonçant ...
    ... progressivement son long pénis. – Ça va, pas trop mal ? – Non, c’est bien passé, tu peux continuer. Jane sent quand son mari lui transmet son amour par l’intermédiaire de Enrico, tous ses bourrages, elle les remarque et bientôt elle reçoit la liqueur convoitée qui lui arrose les ovaires, mais paradoxalement, Enrico ne débande pas, il reste bien raide dans son con, alors que Jean continue inlassablement à lui perforer les boyaux. Martine, les yeux écarquillés de bonheur, voit son homme se faire sodomiser. Elle n’en revient pas qu’il ait accepté, il faut vraiment qu’il l’aime pour accepter de satisfaire ses fantasmes. Les léchages de Jane sont un peu désordonnés, on sent qu’elle prend son pied et que le plaisir de sa partenaire n’est pas son sujet principal, mais de calmer ses ovaires le plus possible. Enrico envoie une seconde salve et du coup débande complètement, malgré le piochage ininterrompu de Jean qui prend beaucoup de plaisir à lui bourrer le fion, c’est bien serré, encore plus que chez Martine, c’est un vrai délice, mais voyant que Enrico n’est plus tendu et est même ressorti du con de sa femme, il se dégage et remarque quelques traces suspectes sur sa tige. – Pour continuer, j’aimerais nettoyer, je n’ai pas envie de polluer quelqu’un. – Va à la salle de bain, tu veux que je t’aide ? Demande Martine désireuse de pouvoir encore bénéficier de cette queue hors paire et inlassable. 
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