1. Feux d'Artifice


    Datte: 24/07/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fête, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, lettre,

    ... main puissante dans l’entrejambe de mon amoureuse et le jeu de ses doigts agiles dans la fente offerte suscitèrent bien vite des tressaillements, appuyés de soupirs retenus… Soupirs qui s’enchaînèrent bientôt en un halètement continu, ponctué de cris étouffés, tandis qu’une sarabande que je me croyais exclusivement réservée animait les hanches de ma Miss, se projetant au-devant des doigts fureteurs. Des reflets mordorés commencaient à inonder les cuisses de la furieuse. Et puis enfin, perdant ce qui lui restait de défenses, Marie, toute tremblante d’énervement et de convoitise, abandonna son massage pour guider sans plus attendre la bite élancée vers l’orée de son sexe… J’étais éberlué. Etait-ce possible ? Comment en était-elle arrivée là ? Je vis le bout trapu trouver en tâtonnant sa place naturelle entre les lèvres obscures de ma gredine. L’infâme y marqua une pause ; le voyant de dos, de trois quarts, j’étais fasciné par ses fesses, étroites et musclées. Je les vis alors se contracter d’un coup et puis s’avancer, lentement, tandis qu’il écartait Marie, s’enfonçant en elle. Elle poussa un «Ah !», se cabra en arrière sur le bureau, s’y appuyant d’une main incertaine, bousculant les menus objets qui s’y trouvaient, tandis que son autre main - ongles vernis de rouge - étreignait la racine du membre fiché entre ses cuisses ruisselantes, ce membre qui allait et venait à présent, avec une régularité de piston monstrueux, ponctuée par le bruit sourd et rythmé, presque ...
    ... métallique, du choc des deux bassins, en bout de course, un mouvement dont chaque pulsation coïncidait avec un nouveau gémissement arraché à ma belle. Au bout d’un temps incalculable, le gentil collègue s’arrêta, abuté tout au fond du ventre de mon amante… Quelques secondes s’écoulèrent ainsi, haletantes… En avait-il fini ? Non ! La prenant alors à la taille, il eut un mouvement de rotation du bassin, de bas en haut, qui la souleva, elle, cambrée, au-dessus du bureau, jambes crochées sur ses fesses, comme si le sexe tout droit et dru planté en elle était devenu l’axe nouveau de tout ce corps de femme… Et puis encore, je le vis empoigner ses seins, à travers le haut de soie. Et, énervé par l’obstacle pourtant léger, tirer d’un coup, arrachant boutons et broderies, libérant les tétons magnifiques, bruns, durs, bandés, dressés. Et leur chevauchée reprit d’un coup, furibonde. Moi j’étais là, fasciné, littéralement fasciné. À cet instant précis, le tir dans le lointain du bouquet final illumina la pièce de couleurs orangées, c’était fou, le sifflement et le choc des fusées se mêlait aux cris, aux véritables hurlements de Marie hagarde pour produire une scène franchement hallucinante. Des feux de toutes sortes étaient tirés sous mes yeux et sous mon crâne en proie à la plus grande confusion. Je me souviens que je fis un effort pour m’arracher au spectacle, et que je me retournai de manière mécanique, avec cette idée de rejoindre les autres, vite, de faire comme si rien ne s’était passé, de ...