1. Banquière perverse (4)


    Datte: 24/07/2021, Catégories: Hétéro

    ... trou et descend vers mes baloches pendantes, et là ça fait mal mais j’aime. — Branle-toi ! s’écrie Gladice en dirigeant le jet vers mon gland. Je n’y tiens plus et me masturbe avec frénésie comme quand plus jeune, je le faisais devant des revues porno ou des films de cul. Elle vient de rapprocher le jet de mon entrée anale, l’eau s’engouffre et ressort aussitôt ; j’adore les lavements de cette façon. Mes boyaux vibrent et je ressens comme un orgasme interne. — Stop ! Lève-toi. Le jet frappe avec vigueur mon gland qui se met à cracher mon précieux liquide blanc puis il nettoie les alentours de mon sexe et tout mon corps velu. — Bien, te voila prêt pour servir Madame ; sèche-toi et suis-moi. Sitôt dit, sitôt fait ; je lui emboite le pas et je profite du joli spectacle de son postérieur ferme qui donne la cadence à chaque pas. Une deux, une deux ; la cuisine s’ouvre devant nous, belle, grande, rutilante. Elle est sublime avec tout ce matériel dernier cri, moi qui adore cuisiner ; je m’y vois déjà, couteau à la main en train de préparer un tajine magnifique ou un couscous. Peut-être qu’un jour … mon idée de m’évader s’évanouit doucement ; il serait dommage de rater les séances de lavement et la cuisine (sans savoir si je pourrais un jour cuisiner) me donnent envie de rester. Nous préparons les petits déjeuners de ces Dames. Ils sont particulièrement copieux, c’est Dimanche ! Et le dimanche : c’est croissants, miel, confiture, café, jus d’oranges et j’en passe. Chacun son ...
    ... plateau et nous partons, Gladice servira Mademoiselle et moi Madame. Je frappe… — Oui entrez ! — Bonjour Madame, bien dormi ? — Et vous ? — Bien, Madame. « Menteur, tu n’as pas fermé l’œil de la nuit ; mais c’est la consigne. Toujours être ravi de ce qui arrive ; il faut que Madame soit contente ! » — À la bonne heure, mais le lit est un peu dur, non ? — Oui Madame, mais je m’y ferais. — Bien posez le plateau sur la table et venez. Je pose le plateau sur ladite table et m’approche du lit où est Madame, mi-assise. — Plus près, je ne vais pas vous manger. Je m’approche, les genoux en appuis sur le bord du lit. Elle avance sa main et me saisit les testicules, les soupèse, les malaxe, tire dessus comme si elle choisissait un melon. Puis s’empare de mon sexe qui est déjà au garde-à-vous. Elle le palpe, le prend à pleine main qui en fait juste le tour, me regarde et sourit. Elle fait glisser la peau très bas et découvre mon gland violacé de désir ; il n’attend qu’une chose…la sauter. Oui sauter cette mégère qui a tendance à m’énerver car j’ai compris qu’elle veut tout posséder et profiter de la détresse des gens. — Hum, hum, bel engin ; mais j’ai un problème. — À bon, vous n’aimez pas les hommes ? — Si Monsieur, je n’aime pas les hommes…poilus ! L’espoir que je viens de fonder, s’écroule d’un coup ; je ne pourrais pas la baiser. Elle fait vraiment chier : « Mais s’il n’y a que ça, je vais me tondre ; je t’aurais un jour, je l’aurais cette grosse ! » — Votre bite (c’est ainsi que cela ...