Sébastien
Datte: 25/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
inconnu,
vacances,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
nostalgie,
Avec mon mari Patrick, nous possédions un camping-car, qui nous permettait de voyager au gré de nos envies. Pas de contraintes, pas d’horaires ; la liberté, quoi ! C’était il y a trois ans. Un soir, nous repérons un véhicule garé pour la nuit, à l’écart du village, quasi en bord de l’océan. Il y a de l’espace pour nous aussi, sans gêner pour autant leur intimité. Nous sommes au bord de l’Atlantique, dans les landes. De vastes étendues de plages, avec relativement peu de monde, par endroits en tout cas. C’est ce que nous recherchons ; nous détestons être les uns sur les autres. Enfin… Je me comprends ! Patrick a de nouveau très envie, cette année comme les précédentes, que je fasse du monokini et je le soupçonne d’avoir choisi cette plage à dessein (c’est le cas de le dire !). Même si Patrick me dit que c’est un crime de cacher mon corps, je ne me sens pas du tout l’âme d’une exhibitionniste. Combien de fois ne m’a-t-il pas demandé de sortir sans soutien sous un chemisier léger. Ou encore de porter une jupe largement fendue sur la cuisse, et dessous des bas auto-fixant. Je l’ai fait pour lui, mais n’y ai pris, moi, aucun plaisir particulier. Tant qu’à plaire, et quelle femme n’a pas besoin de savoir qu’elle plait toujours, passé sa jeunesse, je veux plaire autrement. Par du charme, de la féminité, de la sensualité, des gestes anodins,… Il fait très chaud aujourd’hui. Assez vite, nous nous retrouvons à l’eau. Les vagues sont fortes, c’est gai. Nous jouons à essayer de nous ...
... faire tomber, et Patrick en profite pour me caresser partout où ses mains peuvent toucher mon corps. De mon côté, j’essaie de lui baisser son short et nous rions comme des petits fous tout en étant assez excités. Et c’est comme ça que je me retrouve la poitrine à l’air alors que lui retourne en courant vers nos serviettes, mon haut de bikini à la main. Un groupe de trois jeunes hommes et une jeune fille installés pas loin de nous ont tout vu de la scène. Le hic c’est que, pour rejoindre notre coin de plage, je dois passer près d’eux et qu’à part un slip brésilien assez riquiqui, je ne porte strictement rien d’autre ! Ce qui me gêne, à vrai dire, c’est qu’en marchant dans le sable, mes seins vont « danser » au rythme de mes pas. Et je me vois mal en même temps croiser les bras pour qu’on ne voie rien. J’aurais l’air ridicule… Pourtant, pour mes 40 ans, je peux être fière de ma poitrine : des seins ronds et fermes qu’envieraient bien des femmes, j’ose le dire. Il me dit toujours que cacher « d’aussi beaux nichons » (je le cite), c’est de l’égoïsme. Je sais qu’il me trouve toujours belle et désirable et c’est important pour mon ego, je me sens même flattée de ses compliments. N’empêche… Bon, résumons-nous : donc, je n’ai pas le choix… Oui mais voilà, arrivant tout près d’eux, ils me regardent approcher, me disent un « bonjour » bien sonore, puis se lèvent et me barrent le passage en riant. Je suis certaine qu’ils ne veulent que s’amuser, mais quand même… Patrick, à vingt mètres de ...