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Où conduit l'ennui !
Datte: 25/07/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, plage, volupté, pénétratio,
... le respect qu’il lui devait l’obligeait à marquer la plus grande réserve à son égard. Un après midi, après une grande excursion ils s’étaient arrêtés avant de rentrer sur une de ces immenses plages situées au nord de la ville. Celle-ci était à peu près déserte, juste quelques pêcheurs suivaient la rive en tirant leurs lignes. Laure a plongé, fait quelques brasses puis est venue s’allonger sur le sable encore ruisselante d’eau. Elle aimait la morsure du soleil sur sa peau. Si elle avait pu, elle aurait ôté ce maillot une pièce trop pudique qui faisait écran entre elle le soleil. Mais il n’en était pas question, d’ailleurs l’idée en était folle, car elle n’avait jamais pratiqué le naturisme. Bien sur, en France à la plage elle se mettait seins nus mais elle arrêtait là. Il lui fallait donc se contenter de la chaleur bienfaisante à travers le tissus du maillot. Elle resta comme cela un moment, puis se retourna. Le visage enfoui dans la serviette, elle s’était presque endormie. Elle entendait le bruit des vagues qui la berçait. Elle sentait le sable chaud contre son ventre. Dans cet état, une chose étrange survint. Elle se sentit prise d’une extrême langueur. Une sensation de chaleur et de tension envahissait son bas-ventre, tendait le petit bourgeon de chair du clitoris. Elle était submergée sans même l’avoir voulu par une envie brutale de faire l’amour. Pas un besoin de tendresse, mais une impériosité, une envie presque masculine de jouir vite, comme pour se libérer. Cela ...
... lui était déjà arrivé, et elle avait à chaque fois dû trouver la paix dans une masturbation salvatrice. Mais là c’est d’autre chose qu’il lui faut. Quelque chose de dur, de viril. Quelque chose qu’elle sentirait vivre, vibrer en elle. Ses tempes battaient très fort, son cœur se déchaîna dans sa poitrine, elle sentit son sexe s’ouvrir, sa vulve qui libérait une source humide. Elle se redressa. Rachid était là assis à quelques pas d’elle, il la regardait. Elle s’entendit dire comme dans un rêve: — j’ai envie que vous me fassiez l’amour! Elle s’était avancée vers lui tel un automate, les jambes tremblantes, étonnée encore de ce qu’elle venait de dire. Non ce n’est pas elle, Laure, la femme si sage habituellement. La Laure si pudique, presque timide parfois. Non c’est une autre qui s’avançait vers le jeune homme. À son approche il s’est levé. Elle est presque contre lui. Au moment ou elle va le toucher, elle prend conscience de ce qu’elle va faire, trop tard, Rachid lui a pris la main, elle n’a plus la force de résister. Il l’entraîne vers les dunes qui bordent la plage. Il la fait s’allonger sous un buisson de mimosa. Elle le regarde faire comme hypnotisée: Il déboucle sa ceinture, baisse la fermeture de sa braguette et dans un seul mouvement fait glisser pantalon et slip. Elle regarde la verge dressée qui émerge d’une touffe noire et frisée. Une verge longue, épaisse, légèrement arquée. Le gland lui semble une pointe de flèche dirigée vers elle, la pointe d’une flèche qui va la ...