1. 3 ans de pénitence - 9 bis


    Datte: 25/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... gynéco m’a un jour fait prendre, parce que je m’étais plainte à ma mère d’un saignement à l'anus. Mauvaise idée, je me suis retrouvée dans la même position, tandis qu’un gynéco enfonçait son index enduit de vaseline dans mon derrière et que ma mère, qui assistait à la scène, s'amusait beaucoup de me voir gémir et me tortiller. C’est une position particulièrement inconvenante. De fait, je vois une touffe de poils couleur feu qui dépassent entre les fesses et les cuisses de ma voisine. Elle ne doit plus avoir aucun secret pour l’homme qui se trouve derrière elle.Il lui caressa les fesses en disant:— Tu connais la règle, Camille, tu peux remuer tes grosses fesses autant que tu veux, mais pas t’aplatir.On entend la voix étouffée de la fille qui répond:— Oui, Monsieur.L’homme prend le martinet et promène les lanières de cuir sur ses courbes. Il passe aussi les lanières entre les cuisses sur le sexe de la fille, de plus en plus crispée. Puis il lève le martinet et donne un bon coup sur toute la croupe.La fille pousse un grand « Aiiiee » qui répond aux cris des autres filles de la chambrée, qu'on fouette déjà.Je vois une demi-douzaine de traces rouges sur les fesses de la fille.L’homme fouette en série, il donne six coups chaque fois, et la fille crie à chaque coup. Puis, il attend un peu et pose sa main sur les fesses pour en sentir la chaleur. Les lanières des martinets font vraiment mal mais ne blessent pas. C’est un grand avantage pour celui qui fouette, mais en même temps, un ...
    ... gros inconvénient pour celle qui se fait fouetter, puisqu’on peut recommencer le lendemain. Voire l'après-midi même ou en soirée, si on a puni la fille le matin.L’homme attend un moment en caressant les marques, tandis que la fille gémit. Puis, c’est reparti. Six fois de suite, les lanières s’éparpillent du bas des reins au haut des cuisses, tandis que la victime s’égosille. Je me rends compte qu’elle fait des efforts énormes pour ne pas s’aplatir en se couchant sur le lit, ce qui lui vaudrait une punition encore plus sévère, je suppose. Par contre, la fille peut bouger les fesses et elle ne s’en prive pas. Ses hanches se balancent de droite à gauche comme si elle essayait d’échapper à ces lanières qui laissent des marques brûlantes.L’homme donne six séries de six coups, soit trente-six coups de martinet. Il a fait ça vite, mais en lui accordant un peu de repos entre chaque série. Il tâte une dernière fois les fesses de la fille qui pleure et gémit, puis passe à sa voisine.Chaque homme ayant 3 à 5 filles à corriger, ça leur prend bien une demi-heure pour traiter toutes les punies de la chambre. Pendant cette demi-heure, on entend les sifflements des fouets, le bruit des lanières frappant les fesses des filles, ainsi que leurs pleurs et leurs gémissements.Quand le dernier officiant a terminé, ils viennent examiner les résultats sur les derrières des victimes. Ils comparent, tâtent les fesses, plaisantent...Enfin, ils s’en vont!Les filles restent dans la même position pendant au ...