1. Nadia, la nièce de ma femme (2)


    Datte: 25/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Enfin, elle s’était rincée et essuyée. Elle avait passé la serviette et elle s’en était allée, en éteignant la lumière. J’étais rentré dans la maison à mon tour, ni vu ni connu. J’étais allé dans notre chambre, à l’étage, pour me masturber en écoutant Nadia fredonner dans la pièce d’à côté. J’avais joui très fort, en me retenant de gémir voire de crier son prénom … J’avais passé une nuit atroce : et si j’avais été surpris ? Et si un voisin m’avait vu ? Cela aurait pu très mal tourner. J’avais pris la résolution d’en rester là … Pourtant, le lendemain soir, à l’heure du bain, j’étais à nouveau bien caché dans l’arbre, excité comme une puce et disposé à courir tous les risques. Nadia était arrivée comme la veille, nue sous sa serviette. Elle avait pris tout son temps pour se laver. Elle s’était à nouveau savonné la fente, avec le bout des doigts, puis en utilisant la tranche de sa main et un savon spécial. Mais contrairement à ce que j’espérais, elle ne s’était pas tripotée. Enfin, elle s’était essuyée, tournée face à la porte, ce qui m’avait permis d’admirer ses fesses bien rondes. Le lendemain, en dépit de la peur terrible d’être pris, j’avais essayé d’espionner Nadia une troisième fois. C’était notre dernier soir au village. Quand nous reviendrions, les travaux seraient terminés et la salle de bains habituelle de nouveau fonctionnelle. C’était donc, de toute façon, la toute dernière fois que je pouvais jouer les voyeurs. Mais en m’approchant de l’arbre, j’avais senti que ...
    ... quelque chose n’allait pas. J’avais marqué un temps d’arrêt, puis levé la tête et compris : Carlo, le cousin de Lynn, était confortablement assis en tailleur sur la branche à laquelle j’avais l’habitude de m’agripper. Il fumait tranquillement, ce salaud. Cet imbécile aussi puisque dans les ténèbres on voyait parfaitement le bout rouge de sa cigarette … En tout cas, il ne semblait pas m’avoir vu. Puis Nadia était arrivée, par la porte de la cuisine, en chantant gaiement. J’avais décidé de rester caché. D’où j’étais – à l’angle de la maison, je voyais parfaitement la silhouette de Carlo, mais rien de ce qui se passait dans la « salle de bains ». J’entendais seulement l’eau gicler sur le sol et Nadia chanter de plus belle. Sur sa branche, Carlo, qui avait éteint sa clope, semblait être en train de se tripoter, mais je n’en étais pas tout à fait certain. Ecoeuré, j’étais retourné à l’intérieur, par la porte de devant, l’air de rien, en sifflotant, comme si je revenais d’une petite balade nocturne. Une vision d’horreur m’avait alors cloué sur place : Lyka, Rachel et Lynn étaient assises dans les fauteuils du salon, enveloppées dans des grandes serviettes. Elles attendaient pour aller se laver et je ne pouvais pas les prévenir qu’un pervers – un autre ! - allait les reluquer … Dix minutes plus tard, Nadia avait crié que la place était libre avant de filer dans sa chambre. Lynn avait pris ses deux nièces de vitesse : -Je me lave d’abord les filles ! avait-elle lancé … Je m’étais ...
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