Me voilà dans un BTS coiffure (5)
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... s’est assise sur mon lit, elle a bien écarté les jambes et elle m’a invité à venir lui brouter le minou, décidément cette femme ne pensait qu’à ça. En même temps c’était si gentiment demandé que je n’ai pu résister à son invitation. C’est ainsi que je me suis retrouvé entre ses jambes, sous sa robe avec toutes ces bonnes odeurs de sexe. J’ai hésité à lui écarter, mais finalement je lui ai retiré sa culotte, bien évidemment toute mouillée. — C’est bien mon étalon soumis, fais-moi du bien avant de reprendre les cours. — Je crois que l’on ne m’a jamais brouté le minou comme tu le fais. — Tu n’es pas un expert, mais tu as un énorme potentiel. — Ma fille et moi allons t’apprendre à donner du plaisir partout où la femme peut en recevoir. C’est vrai que son minou était très agréable, à réfléchir je me demande même si je ne préférais pas déguster son entrejambe à celui de sa fille. En un week-end, j’avais sucé, j’avais embrassé, j’avais pénétré, j’avais fait jouir la directrice des études. Au niveau de l’école, cela risquait d’être un peu plus dur, au niveau du relationnel et de l’autorité. Au bout de dix minutes, Marie m’a repoussé la tête pour se relever. — Tu ne vas pas encore me faire jouir aujourd’hui. — Je voulais juste savoir combien tu es obéissant et soumis. Nous échangeâmes un long baiser amoureux avant de nous quitter, cette femme qui m’avait tapé dans l’œil dès le premier jour de classe, elle était en train de m’envoûter, plus que ne le faisait sa fille. J’aurais voulu ...
... passer la nuit avec elle, mais il fallait garder les pieds sur terre, j’allais dormir tout seul. Bien évidemment elle m’a laissé sa culotte poisseuse en me disant que cela ne servirait de doudou pour dormir. En même temps quelque part, elle n’avait pas vraiment tort, toutes ces culottes qui sentaient si bon la femme désireuse, j’en avais plein dans mon oreiller. Certains mettent des fleurs de lavande séchées pour rafraîchir l’air ambiant, moi je préférais l’odeur des culottes de ces deux femmes. Marie m’a quitté sur un long baiser et que je n’ai pas tardé à aller me coucher après son départ, disons que pour moi le week-end avait quand même été épuisant. J’imaginais déjà ce que ces deux femmes allaient manigancer en mon absence, je pense que j’allais être leur sujet de conversation pour les jours à venir. Une fois couché, je me suis vite endormi, c’est mon téléphone qui m’a réveillé avec la position sonnerie à l’heure voulue. Je peux vous dire que j’ai mis du temps à me sortir la tête d’entre les jambes, moi qui en général suis debout dans la seconde qui suit le début de la sonnerie, ce lundi matin c’était très dur. Au réveil j’ai quand même eu la fraîcheur d’esprit d’envoyer un petit message à ma mère pour lui dire que j’allais résilier le bail chez l’habitant pour aller vivre chez une copine dont la maman m’invitait avec grand plaisir. — Tu as bien de la chance mon fiston d’avoir trouvé un toit. — J’espère que tu t’entendras bien avec la maman, comme avec la fille. — Là tu ...