Hôtel des Artistes...
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
Gay
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Quand j’étais en activité – je suis à la retraite – j’ai beaucoup voyagé. Essentiellement en Europe. La nuit, je devais dormir à l’hôtel. Et j’en ai connu de toutes sortes : des hôtels de « charme », comme on dit, des trois étoiles, des cinq étoiles... Ceux que je préférais, c’était les hôtels situés en ville et non en périphérie, dans ces zones commerciales sans âme ni personne...Je me suis rapidement rendu compte, en effet, que la soirée et la nuit étaient plus intéressantes dans ces établissements dont les chambres donnaient sur des cours intérieures, des ruelles et des appartements en vis-à-vis plutôt que dans des palaces impersonnels qui peuvent compter jusqu’à 20 ou 30 étages. Comme moi, vous avez pu noter que les appartements qui sont situés face aux chambres de hôtels sont souvent habités par des exhibitionnistes et surtout des voyeurs. Et de tous âges !J’ai ainsi vécu des expériences bien sympathiques dans ces hôtels en pleine ville, me transformant simultanément en voyeur et en exhibitionniste. Je ne me suis jamais intéressé aux femmes de ménage ou aux room service qui viennent vous apporter le petit-déjeuner et que vous recevez à poil ou en train de vous branler. Non, ce qui m’intéressait, c’était les gens en face et j’ai été rarement déçu.L’histoire qui me vient en premier à l’esprit se passe à Lyon, dans les années 80. Il y a derrière le théâtre des Célestins, un hôtel bien connu des comédiens : l’Hôtel des Artistes. Les chambres donnent sur l’arrière du théâtre. ...
... Quand je passais par Lyon, je descendais toujours à cet hôtel.Ce jour-là, je fis comme d’habitude : à peine entré dans ma chambre, j’allumai (il était plus de 22 heures), ouvris rideaux et fenêtres et... me mis à poil ! Nous étions en plein mois de juin, avec une chaleur étouffante. Mon sang bouillait, j’avais envie de me branler et je commençais à bander. Visiblement, ma chambre était située exactement en face de ce qui devait être un local technique du théâtre, faiblement éclairé par une ampoule unique et où il n’y avait personne, m’avait-il semblé.Et je m’installai. Je mis ma valise sur le lit et je l’ouvris. J’étais devant la fenêtre, nu comme un ver, éclairé par une lampe sur guéridon, de profil par rapport à la fenêtre, très visible depuis ce local technique. De temps à autre, j’entretenais mon érection en me caressant la queue.Je revenais de la salle de bain où je venais de ranger mes affaires de toilette et me dirigeai directement vers la valise quand je choisis de me diriger vers la fenêtre qui était, rappelez-vous, grande ouverte. Dans la rue, en bas (j’étais au premier étage), deux jeunes femmes passaient. L’une m’a vu et a susurré quelque chose à l’oreille de l’autre qui s’est aussitôt retournée. Elles ont étouffé un rire avec leur main, toutes les deux en même temps et sont restées là, 10 ou 20 secondes, à regarder dans ma direction avant de tourner les talons, tout en parlant, très excitées. Je pensais qu’elles n’avaient pas pu voir grand-chose et je commençais ...