1. Paula


    Datte: 26/07/2021, Catégories: Lesbienne

    ... l’une de ses cuisses, douce, veloutée, puis la guida, centimètre par centimètre vers sa chatte. Je caressai doucement l’étoffe du slip qui s’enfonçait dans un sillon charnu et humide. Sillon brûlant. Je l’aidai à se débarrasser de l’étoffe humide. N’écoutant que mon désir, tandis qu’elle m’embrassait à nouveau, je remontais les doigts jusqu’au liseré, pour les égarer dans la toison soyeuse. Instantanément, je trouvai l’orifice onctueux de sa vulve, dont j’appréciais la moiteur prometteuse. Et comme elle me mordait la langue et les lèvres, je caressai l’antre profond et odorant qu’elle m’offrait… Nous basculâmes sur le lit, étroitement enlacées, papillonnant de nos langues et de nos doigts agiles sur nos parties les plus sensibles. Paula m’allongea sur le dos et avança sa grotte, envoûtante fleur rouge, jusqu’à ma bouche. J’avalais avec ferveur ses tendres chairs luisantes d’où se dégageait une forte odeur musquée. Ma langue lécha inlassablement sa chatte juteuse. Un délice pour la jeune fille que j’étais! Elle retira alors son déshabillé et saisit mon visage. Sa toison me chatouillait le nez mais je n’aurais pour rien au monde abandonné ma position. J’avais une superbe vu sur sa poitrine. Assise sur mon visage, elle ondulait en gémissant et se mit d’un coup à me chevaucher plus furieusement, lâchant de petits cris : -Oouiii! Oh! que tu le fais bien. J’aime tellement ça tu sais! Tu faisais ça avec Pat, toutes les nuits? Je suis terriblement excitée, tu sais? » Oh que oui. Je ...
    ... m’en rendais bien compte. Elle se retourna et me présenta ses fesses bronzées, rondes, bien pleines, sensuelles à plaisir. Elle les écarta avec empressement. Son anneau, violet, froncé, tout irisé, s’ouvrit facilement au contact de ma langue fouineuse. J’en profitais pour la glisser le plus loin possible, ce qui lui fit agiter les fesses avec frénésie, tandis qu’elle semblait secouée de frissons. La sodomie devait être un de ses jeux favoris à en juger par la souplesse de la porte secrète de sa petite fleur. Après de longs gémissements, suivis d’un léger spasme autour de ma langue, me sembla t’il, elle abandonna cette position pour m’honorer des mêmes bienfaits. Me manipulant comme une poupée, elle me coucha sur le ventre, m’ordonna de cambrer les reins pour mieux lui présenter mes fesses et glissa même un coussin sous mon ventre. Plaçant ses paumes sous mes cuisses, elle goba littéralement ma vulve surchauffée, et sa langue fit des prodiges sur mon clitoris amplement érigé, à l’orée de l’antre aux plaisirs. Elle me maintenait solidement pour m’aider à tenir la route, et mit un paroxysme à ma béatitude quand elle perfora mon pertuis intime en y introduisant une langue diabolique qui embrasa mon ventre particulièrement réceptif en ces instants. Mon crâne frappait contre le mur sous les secousses répétées du plaisir. Durant de longues minutes, je crus sombrer dans le délire. En fin d’après-midi, nous n’étions plus que deux corps presque brisés, inanimés, étendus mollement sur un ...