Valérie, ronde et docile. (3)
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... commentaires sur internet qui parlaient d’orties fréquemment rencontrées. Sur le chemin du retour, nous sommes tombés sur un buisson. Armé d’un gant et d’un sécateur, j’en ai cueilli de pleines brassées. « Tu vas en faire quoi ? » « De la soupe, tu ne connais pas ? » Naïve et amoureuse ! J’adore Valérie. Il faut dire que je suis le seul beau mec qui se soit intéressé à elle, avec ses 80 kg, son visage rond, son nez un peu gros et ses yeux pleureurs. Sa petite bouche toujours triste n’inspirait pas non plus l’envie de s’amuser. De retour au chalet, on s’est douché et j’avais préparé le repas : gratin de pates. « Un homme qui cuisine ! Mais tu es parfait ! » Dit-elle en s’asseyant à la table, en nuisette de satin, les cheveux mouillés. Un feu de bois crépitait dans la cheminée. Une fois le repas terminé, je la prenais contre moi et l’embrassant, je la conduisis contre un poteau de bois rond, qui soutenait le bar américain séparant la cuisine du petit salon-salle à manger. Je lui fis faire demi tour et, en la pelotant sous les fesses, la laissais enlacer le tronc d’arbre. Je saisis une corde et je lui nouais la taille autour du poteau. Elle s’inquiéta mais je la rassurais, en lui nouant les genoux tout contre aussi. Ses jolis escarpins à haut talons galbaient ses mollets. Je lui attachais les poignets de l’autre côté du poteau, au même niveau que sa taille, les mains reposant sur le plateau du bar. Ainsi, elle laissait sa grosse poitrine bien visible par-dessus. Elle tourna ...
... vers moi un regard inquiet. « Mais qu’est-ce que tu vas faire ? » « Tu verras bien. » Je glissais mes mains dans sa culotte de satin dont les petits voiles sur les côtés ondulaient sur sa peau et je dénudais son opulent fessier. La culotte se retrouva bloquée au niveau des genoux. Je remontais le caraco sous ses aisselles, dévoilant son dos. « Mais, chérie, qu’est-ce que tu fais ? » Je trouvais un gant de cuisine dans un tiroir et je revenais vers ma belle captive. Je tendais mes lèvres vers son visage et posais sur sa bouche un tendre baiser. Calmée par cette marque d’affection, elle resta immobile, pendant que je sortais le sac d’ortie d’un coin de la cuisine. « Avant d’en faire de la soupe, il faut bien qu’elles nous servent un petit peu, non ? » « Heu, oui, à quoi ? » « A chauffer ton gros cul ! » « Nooon, ça fait mal ! » « Ne t’inquiètes pas, si j’ai pris ce chalet, c’est pour que tu puisses hurler sans déranger nos voisins ! » Et je levais mon bras, tenant 3 branches d’orties fraiches et je lui cinglais les fesses avec. Quelques feuilles tombèrent par terre. Valérie cria une première fois, de surprise plus que de douleur, mais vite suivie par un deuxième cri plus fort, à mesure que les boutons apparaissaient sur sa peau. Je fouettais son gros cul de droite et de gauche, laissant la belle sautiller au premier impact des tiges en criant, puis j’attendais le second cri, quelques secondes plus tard, quand le poison pénétrait sous sa peau. Je prenais un malin plaisir et ...