Ma coloc' Nina (8)
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
Hétéro
... suis pas fait prier pour l’enculer plus fort. Ma main branlait toujours son bouton, et mon sexe faisait maintenant de grands allers-retours dans son petit trou. Nos corps, transpirants, claquaient l’un contre l’autre. Après avoir pincé et tiré sur son téton, j’ai lâché son sein pour venir serrer sa gorge. Nina a eu le souffle coupé un moment mais s’est mise à gémir encore plus fort. _ Défonce moi, je t’en supplie, m’a-t-elle dit tout bas, entre deux grognements. J’y suis allé encore plus violemment. Je l’ai pénétrée aussi fort que possible, jusqu’à m’en faire mal moi-même. Ma main sur son clito ne le lâchait que de temps en temps, pour claquer sa fente, ou enfoncer deux ou trois doigts en elle. Nina mouillait tellement que ça en devenait indécent. De la même manière, je ne lâchais sa gorge que pour maltraiter ses seins. _ Marc, a-t-elle dit soudain, le souffle court, Marc s’il te plait, est-ce que je peux jouir ? _ Vas-y. Et je n’ai plus lâché son clitoris. Nina a joui quelques secondes plus tard, en criant et en allant et venant elle-même sur mon membre. J’ai enfoncé mes doigts en elle, quatre doigts, ma paume écrasée contre son clito. Elle était trempée. Tellement ...
... trempée et dilatée que j’aurais pu y mettre ma main entière. L’angle de mon poignet, cependant, ne le permettait pas. Et j’ai continué jusqu’à ce que son orgasme s’arrête, et jusqu’à ce que moi aussi je finisse par jouir. J’ai éjaculé dans son cul. C’était la première fois que je ne jouissais pas sur elle. J’appréciais aussi ce confort, ne pas sortir, juste jouir. Après ça, on est bien restés deux minutes sans bouger, moi toujours en elle, des deux côtés. On reprenait juste notre souffle et nos esprits. J’ai fini par retirer mes doigts de sa chatte, et les ai présentés devant la bouche de Nina. Instinctivement, elle me les a nettoyés. Puis mon sexe a dégonflé, et a glissé hors de son anus. Tout comme mon sperme, qui coulait déjà sur ses fesses et ses cuisses. Je l’ai ensuite embrassée longuement. Sa langue avait le goût de son sexe. vxpviifr Je me suis levé du lit. Je pouvais voir qu’il pleuvait toujours, à travers les rideaux restés grand ouverts. _ Douches toi et habilles toi, après on ira se balader un peu. Nina, qui jouait avec le sperme coulant sur ses cuisses, a hoché la tête, et s’est dirigée vers la salle de bain, tandis que j’allais me faire un nouveau café.