Le manoir enchanté
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
fh,
grp,
fsoumise,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
totalsexe,
Ce fut une première nuit très agréable que nous venions de passer dans ce manoir du XVIIIème siècle au grand parc ombragé de pins, une nuit torride avec mon ami du moment : Éros, qui, après vérification détaillée, porte bien son nom. Je dois avouer que mes parents ont eu l’audace de m’appeler Amour ; je m’en accommode bien, heureusement, mais je crois que j’aurais préféré Vénus ou Aphrodite… C’est au petit matin, quand les premières lueurs du jour filtraient par les volets entrouverts, alors qu’il dormait comme un ange, mon Éros adoré, ou plutôt comme un dieu de l’Olympe, que j‘ai décidé de calmer ses ardeurs incontrôlées. Car je l’ai bien cerné, l’animal, et je sais que dès que je lui aurai tourné le postérieur, il s’amourachera de la première nymphette délurée. D’ailleurs délurée je suis, et pour prendre une longueur d’avance, si j’ose dire, je me glisse à présent en tenue d’Ève sous le drap de satin, effleurant au plus près de mes tétons gonflés sa peau hâlée par le soleil d’été, et prenant possession du corps superbe et musclé de « mon bel Apollon ». C’est le surnom que je lui ai donné pour le chiner. Je caresse ses cuisses, remonte vers son ventre et sans préambule je gobe avec gourmandise son beau membre de chair qui palpite déjà sous ma langue… Éros se réveille à moitié, mais fait mine de continuer à somnoler pour bénéficier au maximum des caresses buccales que je lui prodigue. Glissant ma main autour de son scrotum, je me fais plus insistante, massant incidemment au ...
... passage son œillet obscur et froncé… Je passe sur les détails, mais dans les règles de l’art j’arrive toujours à mes fins, surtout au petit matin avant le déjeuner. C’est un véritable délice de sentir le gland de chair rose qui gonfle sous ma langue, la hampe sous mes doigts qui semble s’étirer à l’infini, et puis ses spasmes venus du tréfonds de l’être qui annoncent l’éjaculation finale que j’accueille goulûment dans ma gorge sans en perdre une goutte. Des soupirs d’extase s’échappent de la gorge de mon amant enflammé. Je me complais alors à aspirer méthodiquement le pénis épanoui pour en extraire la substantifique moelle et, pour finir mon ouvrage, je le nettoie consciencieusement du bout de la langue. Éros s’est assoupi dans les bras de Morphée, le repos du guerrier en quelque sorte. Quoique dans ce cas précis c’est plutôt moi la guerrière et mon partenaire a capitulé sans résistance. Fière de moi, j’enfile une nuisette en tulle rose, et c’est légère et court-vêtue que je pars explorer les couloirs de cet immense manoir aux hauts plafonds colorés, aux murs tapissés de toiles et aux moulures en plâtre. J’entends des soupirs dans la chambre à côté où devrait dormir Psyché la cousine d’Éros : Psyché s’est disputé la veille avec son ami Iméros, qu’elle a surpris dans le parc dans les bras de Junon… Je jette un coup d’œil par l’embrasure de la porte et je reconnais Psyché allongée nue sur le lit à baldaquin, jambes écartées alors que Junon, sa jeune sœur, agenouillée au bord du ...