1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 624)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Le troisième fût sur le haut de mes cuisses, ce qui me fit gémir de plus belle, ma respiration s’accélérant. Le Châtelain continua à marquer ainsi ma croupe, s’appliquant à laisser des marques de haut en bas de mon postérieur. Plus le nombre de coups s’approchait de 10, plus je sentais mon intimité s’humidifier jusqu’à ce que je sente couler sur une de mes cuisses ma cyprine, la preuve de mon excitation. Je continuai de gémir, les larmes au bord des yeux et le rouge aux joues. Toutefois, je ne pleurai pas. Une fois finit, le Marquis glissa sa main le long de ma cuisse, glissant sur mes sécrétions, s’en humidifiant les doigts. Il s’approcha ensuite de mon visage et mit ses doigts dans ma bouche, me redressant d’un mouvement de sa main. - Ceci est la preuve que tu apprécies le traitement que je t’inflige n’est-ce pas ? Tu aimes être soumise. Alors maintenant suce ce qui provient de toi, chienne. Je baissai les yeux, une larme roula sur ma joue et ma langue s’activa activement autours de ses doigts, glissant entre autours d’eux, je m’empressai à les nettoyer, bougeant ma tête dans un doux va et vient. Concentrée à cela, j’oubliai un moment les questions et contradictions qui assaillaient mon esprit et me concentra à ma tâche. - Bonne chienne, tu vois que tu peux être prompte à agir, dit-il ayant sûrement remarqué ma concentration. Il retira ses doigts de ma bouche et remarqua la trace de rouge à lèvre laissé sur ses doigts. Il l’essuya sur ma poitrine, frôlant mes tétons, ce ...
    ... qui me fit tressaillir. En effet, j’ai toujours été sensible au niveau des tétons malgré ma forte poitrine. Il s’en amusa et les titilla, les pinçant alors que je grimaçai et gémissais sous ses doigts. Au bout d’un temps, il alla jusqu’à une commode, tira un tiroir et en sorti une corde. Il revient, la doubla, la passa autour de mon fin cou et la noua sans être trop serrée. - A quatre pattes chienne, m’ordonna-t-il, je vais aller manger et tu vas me suivre sagement en marchant comme la chienne que tu es. Nous parlerons de ta situation ensuite. Est-ce clair ? Je me surpris presque à hocher la tête positivement, mon bas ventre subjugué par cet ordre et le ton autoritaire de Monsieur le Marquis. Mais ce dernier, marcha sur ma main et tira mes cheveux, relevant ma tête pour le regarder. - Ici, on dit ‘’Oui Monsieur le Marquis’’ pour me répondre ! Et si tu le mérites, peut-être que très bientôt, tu auras l’autorisation de m’appeler ‘’Maître’’ ou ‘’Maître Vénéré’… ce qui pour toi sera un véritable privilège et honneur … Il retira son pied, mais garda ma tête relevée, attendant ma réponse. - Oui Monsieur le Marquis, réussissais-je à articuler. - Plus fort chienne. - Oui Monsieur le Marquis, dis-je d’une voix plus affirmée. - C’est mieux, répondit-il en me donnant une petite claque sur la joue. Sans attendre plus, il lâcha mes cheveux et s’avança, sans aller trop vite, conscient sûrement que c’était la première fois que je me déplaçais ainsi. Nous partîmes donc en direction de la salle ...