1. Une galéjade bien montée (1)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail forêt, volupté, Oral historique, humour, aventure,

    ... dont les différentes planches ont joué, ce qui permet de voir par les interstices. En dessous un râtelier qui semble n’avoir jamais été utilisé et, un peu plus au fond, en partie cachée, une grande bâche en tissu, recouvrant des bottes de foin, qui vient visiblement d’être utilisée. — Tatiana, je pense savoir comment ils font l’amour ici.— Tu es un vrai Sherlock Holmes.— Non, avec l’exercice qu’on vient de faire, plutôt un James Bond.— Alors, donne-moi vite ta vision des choses.— Quand ils arrivent ils ouvrent la grande porte à glissière du bas, ensuite ils doivent la fermer de l’intérieur. À ce moment plus personne ne peut les déranger. Ils se déshabillent sur le râtelier, c’est ce qui explique que leurs vêtements restent propres. Regarde toutes les traces de pas dans la poussière au sol. Ensuite ils vont faire l’amour pendant une heure sur la bâche qui est de l’autre côté, on voit bien qu’elle vient de servir. Le confort sans aucune trace.— Tu m’épates. Tu as loupé ta vocation, il te fallait être gendarme ou policier. Édouard se rapproche de Tatiana, pose ses lèvres sur les siennes et l’embrasse avec beaucoup de fougue en en profitant pour saisir ses fesses à pleine main. Les ardeurs apaisées et toujours aussi excité par la galéjade, il propose à Tatiana un plan d’action : — Mardi on va venir s’installer sur cette petite plateforme sur laquelle nous sommes, c’est un formidable poste d’observation. On va l’aménager confortablement dès ce soir avec l’une des bâches qui ...
    ... traînent en bas et de la paille.— Pourquoi ?— Le sol en béton est beaucoup trop rugueux, on ne pourrait même pas s’asseoir. Par contre, une fois aménagé, on pourra y faire l’amour tous les deux ici, mais à une condition fondamentale…— Laquelle ?— Que tu saches jouir et prendre tout ton plaisir en silence.— Ça, je sais faire, tu peux compter sur moi. Édouard se penche vers le râtelier du bas : — Si jamais au cours de nos ébats amoureux on se trouve à court d’imagination, on pourra jeter un petit coup d’œil comme je le fais en bas pour les regarder et leur emprunter des idées.— Il n’en est pas question. Si tu fais l’amour avec moi, je ne veux pas que tu mates les deux autres. Je n’aime ni les vicieux, ni les pervers.— C’est promis, je ne regarderai que toi.— Je te préviens, quand on s’aimera, je veux que tu t’occupes beaucoup de moi. Je n’aime pas l’amour à la va vite.— Ne t’inquiètes pas, je serai aux petits oignons pour toi.— Moi aussi et tu verras, tu ne seras pas déçu.— Voilà une séance qui promet d’être particulièrement sympa. Édouard poursuit en envisageant différentes hypothèses pour son plan d’action : — Si notre cheftaine met ses sous-vêtements sur le râtelier qui est en dessous, on pourrait essayer d’en piquer un ou deux. Ce devrait être possible avec un système de pinces à deux câbles, un peu comme les grues à ferraille ou à sable. Quand on tire avec le premier câble la pince s’ouvre, quand on utilise l’autre câble, la pince se ferme.— Ces pinces, tu veux les trouver où ?— ...
«12...111213...17»