1. Fessée, humiliée et dressée par ma cousine (1)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... était de plus en plus forte, et je pouvais voir à sa mine ravis, que ce n’était là qu’un début. Dans un sursaut d’orgueil, je trouvai le courage de lui dire « Pas le slip, s’il te plaît ! ─ Allons cousin, on ne vas pas s’arrêter en si bon chemin ! Sur ces mots, elle prit mon slip et le descendit d’un seul coup, me faisant lever un pied, puis l’autre, avant d’envoyer mon slip avec mon pull et mon jean. J’étais alors complètement nu, mon entrejambe offert au regard de ma cousine. ─ Je savais bien que tu avais une petite bite. Mais je ne l’imaginais pas si ridicule. Elle eu un sourire en observant mon sexe complètement recroquevillé par l’humiliation que j’étais en train de subir. ─ Bon, on a bien ri, passons maintenant aux choses sérieuses ! Elle me fit placer mon corps en travers de ses genoux. Elle caressa légèrement mes fesses de sa main droite. ─ Quand les petits garçons ne sont pas sage, une bonne fessé déculotté, il n’y a que ça de vrai ! Pour lier l’acte à la parole, elle commença à frapper mes fesses avec ses mains. Si le châtiment ne fit pas bien mal au début, l’enchaînement continu des claques commença à me faire ressentir une vive douleur. Quand elle commençait à avoir mal à une main, elle passait à l’autre. Moi, j’étais condamné à subir sans broncher. Je ne pouvait pas me permettre de pleurer devant cette petite peste. Elle dut bien me donner une centaine de claques avant d’arrêter le supplice. Quand elle le fit, ce fut un soulagement tant je pense que je ...
    ... n’aurais pas pu tenir plus longtemps. ─ Tes fesses sont déjà bien rouges ! Lève toi et garde tes mains derrière la tête ! Je m’exécutais, trop content de ne plus avoir à subir la fessé. Le regard de ma cousine s’arrêta sur mon pénis, que le fait d’être nu devant elle avait mit en érection. ─ Mais tu bandes ! Espèce de gros porc ! Tu n’as pas honte de bander devant ta cousine ! Tu mérite une vrai punition ! Ne bouge pas, je reviens. Ses paroles m’avaient terrifiées au plus haut point. Qu’avait-elle en tête. Quand je la vie revenir avec une brosse à cheveux dans les mains, je compris que j’allais passer un sale quart-d’heure. Elle me fit me remettre en position pour la fessée et me tambourina les fesses avec son instrument de torture improvisé. Si je put résister au début, je fus vite envahie d’une douleur que je ne put contenir. Je fondis en larme, la suppliant d’arrêter. ─ Je t’en supplie arrête. Tu as gagné ! Je ferais tout ce que tu voudras, mais arrête ! ─ Absolument tout ce que je veux ? ─ Tout ! Mais arrête, je t’en supplie. À cet instant, elle arrêta la fessé, je lui en fus infiniment reconnaissant. Elle posa la brosse sur le lit et me laissa me lever. Je n’était pas encore complètement droit qu’elle se remit à me donner des ordres. ─ Met toi à genoux ! Tout de suite ! J’obtempérais, trop content de ne plus avoir à subir la fessé. ─ Maintenant, je veux que tu dises que je suis la plus belle ! J’avais été trop malmené jusque là pour pouvoir résister. ─ Tu es la plus belle. ...