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Ma vie de libertin - Amours de jeunesse - 1ère partie.
Datte: 27/07/2021, Catégories: Première fois
Amours de jeunesse.1. Depuis quelques années, les récits ponctuels de mes aventures de libertin ont été publiés en ordre dispersé sur divers sites dédiés. Je remercie celles et ceux qui m’ont accueilli dans leurs blogs ou sur leurs pages. C’était sans tenir compte de la chronologie des faits… J’ai tenté de tout replacer dans l’ordre en modifiant les textes pour les rendre plus attractifs. ! Voici donc les principales aventures vécues avec diverses compagnes ou amies qui ont partagé ma vie pour un soir ou plus ! Enfin, du moins celles qui m’ont laissé le plus de souvenirs… J’ai parfois retrouvé leur prénom mais chaque fois, je me suis souvenu des péripéties et de leur anatomie… comme si je les avais à nouveau dans mes bras ! Ma première fois. Lors de mon adolescence, à priori rien ne laissait penser que je vivrais une vie de libertin. Il a fallu pourtant que j’arrive à plus de 40 ans pour découvrir les joies du libertinage avec celle que je qualifierai de ma première maîtresse. Je dois préciser que je suis désormais un vieux barbon, libertin convaincu dont l’âge a calmé les ardeurs mais qui, de temps à autre, aime bien contempler les corps plus ou moins dénudés des femmes plus ou moins jeunes. J’apprécie la belle lingerie qui met en valeur les atouts de ces jolies demoiselles ou femmes un peu matures dont j’aime les rondeurs. Je l’apprécie parce que la belle lingerie est pour moi, l’écrin qui met en valeurs les atouts féminins. Ma première fois remonte à l’été 1960. Je n’en ...
... souviens comme si c’était hier ! D’ailleurs chaque fois que je croise encore cette femme, je suis ému à la pensée des moments que nous avons vécus dans les bras l’un de l’autre. A 18 ans (il faut se replacer dans le contexte de l’époque), je n’avais connu que des flirts avec des camarades du lycée dont une métisse indochinoise dont j’étais raide dingue mais qui était très farouche. Oh çà n’allait jamais bien loin ! Quelques baisers plus ou moins torrides échangés dans l’obscurité d’une salle de cinéma ou dans un coin sombre à l’abri des regards, quelques caresses plus ou moins furtives. Peu de nos camarades franchissaient le pas d’une relation sexuelle. Mais je n’ignorais rien des pratiques sexuelles que j’avais découvert dans des revues qu’entre lycéens, nous nous passions discrètement les derniers exemplaires publiés. Ce jour-là, nous faisions partie des convives d’une grande fête de famille comme il y en avait pour les mariages où le ban et l’arrière ban de la parentèle était convié. A part un petit groupe d’adolescents, nous étions une demi douzaine de jeunes entre 18 et 25 ans, filles et garçons qui s’amusaient comme des fous, faisant des farces aux autres convives au cours de ce repas de fête. La journée était déjà bien avancée quand cette parente éloignée m’a demandé si je voulais bien l’accompagner jusqu’à chez elle car elle voulait troquer sa robe longue de demoiselle d’honneur pour une tenue plus adaptée pour finir la soirée. Elle se sentait fatiguée (un peu pompette, ...