Ma madame Claude à moi (9)
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
Transexuels
Ma madame Claude à moi, (9) Le diner dure plus longtemps que prévu, nous commentons notre nouvel étape SM et Julie, pourtant l’initiatrice, avoue sa peur devant ce qu’elle a ressenti. Elle craint de tomber dans l’addiction. Je montre les restes des gadgets sur la table et dis « Alors on arrête pour aujourd’hui » Claude intervient : « Oui, d’ailleurs il est tard et vous avez de la route pour rentrer. Et puis on a quelque chose à vous dire. ???? « Voilà, Julie, avec mon aide, a repris un cabinet à Antibes. Comme je ne veux pas la quitter, je vais laisser la direction de Paris à mon associé et me consacrer à l’agence de Nice. Nous allons donc être séparé. Vous viendrez en vacances ? » La foudre tombe sur nos pieds et nos sexes. Je regarde Brigitte et elle pense comme moi, comment allons nous faire sans eux. Nous prenons conscience que nous sommes amoureux et que notre complicité, créé par le sexe va bien au delà. C’est avec beaucoup de tendresse que nous les serons dans nos bras avant de reprendre la route. Plusieurs semaines ont passé, heureusement nous continuons à partager les mêmes sensations à deux. Nous n’étions pas dans l’addiction, mais quelque chose nous manque. Un soir, Brigitte me dis : « Jai envie d’essayer un gang band » Le lendemain j’achète le guide des spectacles et je trouve, comme par le passé, les encadrés en bas de page, écrits fins, faisant la publicité de ces lieux. J’essaye de me rappeler celui où j’étais allé, il y a longtemps, avant de connaître ...
... Brigitte. Je le retrouve et passe un coup de fil pour les heures d’ouverture. Je téléphone à Brigitte et je l’informe de ma découverte et lui propose d’y aller ce soir. Je retrouve , Brigitte toute prête, habillée sexy avec une robe boutonnée devant, facile à enlever. Je me réserve la surprise des dessous et je ne pose pas de questions. Je prends une douche et m’habille simplement. L’immeuble doit dater du moyen âge avec ses colombages qui deviennent rares à Paris. La lourde porte est munie d’un guichet qui s’ouvre pour nous examiner, « Vous êtes dejà venu ?» « Il y a longtemps, oui « « Vous êtes en couple, vous savez que ce soir l’accès est ouvert également aux hommes seuls » C’est Brigitte qui répond : « Tant mieux, plus il y a de males, mieux c’est » Nous réglons notre entrée et nous descendons dans les caves, de mémoire il y a 4 étages, le plus bas étant le plus hot. Nous nous arrêtons à chaque étage , parcourons les salles. Nous ne sommes pas les seuls, le voyeurisme étant un des attraits de ce genre de maison. Comme c’est la soirée hommes, le 3e étage est presque entièrement réservé aux gays. Brigitte curieuse en fait le tour. Pour ma part, je suis un peu réticent, gardant le souvenir de Claude qui alliait sa féminité à son sexe majestueux. Nous atteignons le 4e niveau au bout d’une petite heure et nous sommes accueillis par une croix de saint André, sur laquelle est fixée une très belle femme , entourée d’hommes qui la caresse, son sexe est distendu par le bras d’un grand ...