1. Un cocu content contant une soirée de rêve.


    Datte: 27/07/2021, Catégories: ff, 2couples, nonéro, pastiche, humour,

    ... j’éprouvais une légère gêne à l’idée que ma femme puisse découvrir notre relation. Je précise bien que je n’éprouvais aucune culpabilité sur le fait de coucher avec d’autres femmes, car ce n’était dû qu’à l’incapacité de ma femme à répondre à mes besoins particulièrement importants. Honnêtement, elle n’avait que ce qu’elle méritait, mais excusez-moi, je me gare. Ce couple, appelons-les Brian et Priscilla pour conserver leur anonymat (ce ne sont pas leurs vrais noms, d’ailleurs ma femme ne s’appelle pas Kelly et je ne me prénomme pas Kevin non plus), habitait dans une charmante villa dans la banlieue de notre ville (dont je tairais aussi le nom, là aussi pour respecter l’anonymat des habitants de la région Parisienne). Nous arrivâmes vers 20 heures pour le dîner. J’aurai bien aimé arriver plus tard, vu que j’avais proposé à ma femme de me faire une petite gâterie avant de partir, mais elle avait eu l’affront de refuser. Pour venir à cette soirée, ma femme m’avait détonné, car elle avait mis une tenue assez classique et très élégante, certes, mais surtout, ce qui était assez rare pour elle, qui est plutôt coincée, elle portait un haut avec un important décolleté, bien mis en avant par un soutien-gorge pigeonnant, dont on devinait les broderies sous le tissu de sa robe noire mettant en valeur sa superbe poitrine si voluptueuse, mais aussi la finesse de sa silhouette et son ventre plat, le tout rehaussé par un pendentif en or en forme de goutte d’eau attirant encore plus le ...
    ... regard vers ses seins si délicats et fermes, lequel pendentif était en accord avec ses boucles d’oreilles, malheureusement cachées par ses longs cheveux blonds légèrement frisés (note du traducteur : vous pouvez à nouveau reprendre votre respiration). Brian ne se gêna d’ailleurs pas pour regarder le décolleté de ma femme, dès que nous arrivâmes. Sur le coup, je me suis dit que ce serait presque une aubaine s’il se tapait ma femme, ça nous laisserait du temps à Priscilla et moi ! Il fumait une cigarette dans le jardin et comme il savait que nous fûmes aussi fumeurs et que nous fûmes amateurs d’en fumer une avant le repas, nous fûmes ravis d’en fumer une avec lui. Pendant que nous fumions, je sentis un délicat fumet. Je laissais John s’occuper de ma femme (pour lui faire visiter le jardin, bien entendu) et partit vers la cuisine en suivant une fine fumée fort appétissante. Cela sentait le lard fumé, c’était donc cela ce fumet. Plongée dans la préparation d’une bonne daube, Priscilla ne m’entendit pas arriver. J’en profitais pour la surprendre en lui mettant les mains aux fesses. Elle ne se retourna même pas. — Ah, tu es déjà là Kevin.— Comment sais-tu que c’est moi m’étonnais-je ?— À la finesse de ton approche. Direct les mains aux fesses, ça ne peut être que toi. Je souris, ravi du compliment. Elle se tourna vers moi et m’embrassa goulûment. — Tiens, tu fumes ce soir ?— Euh, oui, mais je crois que je vais arrêter avec la fumée pour la suite. Je jetai la cigarette et profitai ...
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