1. Ma soeur Faten 2


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... immeuble composé de 2 pièces et une cuisine.FATEN était très contente de me voir. Elle n'arrêtait pas de demander des nouvelles de ma mère. Pendant qu'elle me parlait, lui, il était déjà prêt a partir, un sac dans la main :« Allez, à demain, les autres doivent m'attendre, à l'heure qu'il est ! Dit-il.– Allez, repose-toi pendant que je te prépare quelque chose à manger !– Non, ne te fatigue pas, j'ai déjà mangé chez nous !– Alors, juste un café ! »Pendant que je faisais connaissance avec les lieux, j’étais dans la pièce d'une superficie de 3/3, utilisée comme salon d'honneur, mais quel salon, il y a deux matelas recouverts de tissu, avec de grands oreillers et deux poufs du même tissu, ce qu'on appelle, chez nous, un salon arabe. Au milieu, une petite table basse, plus à l'écart, une autre où était posé, dessus, une télévision, petit format et le seul objet du siècle, un PC placé dans l'angle, faisant face à la télé, mais pas de tableau, c'était sinistre. Sans attendre son retour, je suis sorti à la recherche des toilettes, j'avais une forte envie de pisser. En passant par la salle de bain, j'ai remarqué qu'elle était lugubre, pas de glace, pas de parfum ou tous autres pour soins. Un panier à linge sale et c'est tout.Le couloir était aussi lugubre, pas même un petit tableau. Je me suis dit que la chambre à coucher ne devait pas déroger à la règle.Enfin, c'était leur vie, je n'avais pas à m’en mêler. Justement, FATEN fit son entrée dans le salon avec un plateau sur les bras. ...
    ... Elle me verse du café au lait et des gâteaux, préparés par elle.Tout en mangeant, nous discutions de tout, surtout de la famille, du travail, mais elle évitait de me parler d'elle ou de son mari, mais j'avais un pressentiment qu'elle était malheureuse, même si elle faisait tout pour le cacher.Après la pause café, j'ai profité pour lui dire que je sortais faire un tour dans leur ville. Je lui ai proposé de venir avec moi, elle a refusée gentiment me disant qu'elle avait beaucoup de choses à faire. Je ne l'ai pas crue, mais avais-je le choix ? J'ai vadrouillé un peu partout dans la ville, quand j'ai emprunté les escaliers, il faisait déjà nuit.Je n'ai pas eu le temps de frapper à la porte qu'elle s'est ouverte :« Où étais-tu, j'étais inquiète ! me demanda-t-elle.– Je faisais connaissance avec la ville ! » Lui dis-je.Elle me céda le passage, je passai directement au salon. La table était prête, bien garnie.« Tu préfères manger ici ou dans la cuisine ?– Aucune importance, je n'ai pas faim, aussi !– Tu as mangé dehors ? Me dit-elle, avec un ton de reproche.– Non, le petit-déjeuner de tout à l'heure était consistant, voila c'est tout !– Non, il faut que tu manges, tu ne veux pas que maman me reproche de laisser son fils ! Le dit-elle, avec le sourire.– Et bien, pour ne pas te décevoir, j'en mangerai un peu ! »Au moment de prendre la fourchette, j'ai remarqué quelque chose de nouveau, tout à l'heure, ma sœur portait une longue robe qui lui arrivait aux pieds et aux mains, maintenant, ...
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