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Les vacances de Romain (3)
Datte: 29/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... au travers de sa jupe. Nous sommes maintenant sur la terrasse et elle ralentit son pas. Moi non. J’arrive derrière elle et me colle contre son dos. Je l’entends soupirer légèrement. Je pose mes mains sur ses hanches et je la retourne fermement. A cet instant je vois cette lueur dans ses yeux. Une lueur que je ne suis pas sensé voir dans les yeux de ma mère… celle du vice. Nous sommes baignés par la lueur bleutée de la piscine et entourés par les transats et les quelques fleurs sur la terrasse. Mes mains descendent sur ses fesses et s’y agrippent violemment Elle se jette sur mes lèvres et m’embrasse avec fougue. Je lui réponds avec la même ardeur et je lui dévore les lèvres. Une de mes mains remonte sur son décolleté qui ne m’a que trop nargué. Il n’y a plus rien de maternelle dans cet échange de salive. Mes mains sont accrochées à ses formes et elles alternent entre ses seins et ses fesses. Nos corps sont compressés l’un sur l’autre et la chaleur bouillonne d’impatience et de plaisir. Mon sexe commence à sentir sacrement à l’étroit dans mon jean et ma mère doit s’en rendre compte : - Je pense qu’il est temps de libérer ça, me susurre-t-elle à l’oreille. En joignant le geste à la parole elle s’empresse de défaire ma ceinture et les boutons. Mon jean tombe à terre et je m’en débarrasse sans pour autant lâcher les seins de ma mère. Je ne suis pas non plus à la traine puisque je me suis débrouillé pour ouvrir son décolleter en grand et faire sortir ses deux énormes seins si ...
... appétissants. - Voyons voir ce qu’il y a là-dedans, me dit-elle avec un sourire qui en dit beaucoup… Elle baisse l’élastique de mon caleçon et fait jaillir ma queue qui sort comme un diable en boite. - Ça tu vois maman, c’est un mois de diète - Mon dieu mon chéri, tu ne dois pas que leur faire du bien à tes copines avec un tel engin ! Il est vrai que j’ai plutôt de la chance d’un point de vue physionomique. Ma queue n’est pas extrêmement épaisse mais en revanche elle est plutôt très longue. J’ai rarement trouvé une partenaire capable de la prendre dans la totalité de sa longueur, à mon grand désespoir. - Elle t’impressionne ? La question n’a pas forcément lieux d’être à la vue de ses yeux écarquillés. Cela ne l’empêche pas de me répondre : - Impressionné ? Moi ? j’aurais plutôt dit impatiente de me mesurer à cette bite monstrueuse ! Son vocabulaire cru m’étonne de moins en moins et il est loin de me déplaire. C’est d’ailleurs ça qui a déverrouillé toute la morale qui aurait pu nous faire rebrousser chemin. Comme elle l’avait souligné, elle me démontre son impatience en se jetant à bouche ouverte sur ma queue. Elle ne prend même pas le temps de la lécher ou de l’embrasser et elle la dévore comme une folle. Je la vois, avec mes yeux pourtant habitués à ce genre de scène et je m’étonne de cette ardeur qu’elle dégage tant ses gestes sont obscènes. Elle tente de l’avaler le plus profondément possible sans parvenir à aller à plus de la moitié de ma longueur. Cette fougue commence à se ...